Rêve d'un prince charmant...

Un soleil des plus sublime se tenait haut de le ciel de Versailles aujourd'hui... Il faisait chaud et beau, le temps était idéale pour une promenade dans le parc du château... Les parfums des fleurs se mélangeait créant de subtiles aromes qui vous faisait tourné la tete si vous les respiriez de trop près...

Encore une fois, la jeune Marquise de Romans avait délaissé son futur époux en le confiant à son père, pour qu'ils parlent des arrangements du mariages qui devrait avoir lieu dans quelques mois... Au grand déséspoir de Joséphine.
Elle marchait de son pas léger et naturel, vétue d'une robe dans les tons de jaune pâles... Contrastant avec ses longs cheveux bruns qui voletaient dans la petite brise légère qui soufflait dans les jardins du palais.
Depuis qu'elle avait rencontré Simon de la Richerdière à la cathédrale Notre Dame, elle ne pensait plus qu'à lui et celui lui avait remener le sourire aux lèvres...

Même si elle était en train de marcher seule dans les allées des jardins, elle savait que quelqu'un pensait à elle, et cela l'emplissait de joie.
Elle avait eut beaucoup de mal à cacher son histoire à sa nourrice qui était comme sa seconde mère et qui prenait soin d'elle plus qu'elle ne devrait...
Au fond d'elle, Joséphine aurait aimé avoir la compagnie de Marie Mancini qu'elle considérait comme son amie maintenant... Elle aurai aimé pouvoir partager son secet avec elle, étant certaine que celle ci n'irait pas colporter des rumeurs dans toute la cours... Parler ce cela à quelqu'un lui aurai fait du bien, car au fond elle ne savait que faire...

Il faisait beau et Marie avait décidé de profiter de cette magnifique journée pour sortir et se promener.
A vrai dire elle voulait surtout du temps pour réfléchir à ce qui c'était passée la veille. A la fête organisée pour le Roi dans les jardins du château, elle avait découvert que l'homme dont elle était tombée amoureuse la veille même n'était autre que le Roi lui-même.

Marie était extrèmement heureuse et cela se voyait en elle. Elle se laissait guider par ses envies dans le parc, repassant naturellement par la grande allée où son grand amour l'avait rejointe, se revoyant danser à son bras.

Tout cela était bien nouveau pour la jeune fille, jamais elle n'avait cru aimé et jamais personne ne lui avait autant porté d'intérêt que le Roi. Cette nouvelle situation amenait beaucoup de question dans la tête de la jeune fille, à vrai dire qui sait où cela mène quand on aime !

Mais alors qu'elle était perdue dans ses pensées elle commença à distinguer une silhouette au loin, silhouette qui avançait vers elle et se faisait reconnaître de plus en plus à chaque pas. C'était Joséphine !!!
Elle ne l'avait pas revu depuis la soirée où la pauvre avait rencontré son futur époux qu'elle n'aimait pas et où elle avait trouvé l'amour.

Agitant alors son bras, elle appela:

"Joséphine ... Joséphine"

Relevant la tete sous les appelles qui venait d'une jeune femme en face d'elle, Joséphine constata qu'il sagissait de son amie Marie... Comme elle était heureuse de la voir là, s'avançer vers elle avec un sourire radieux.
Joséphine répondit à la nièce du cardinal par un signe de la main, meme si elle savait que cela n'était pas tres distingué...
Puis elle accelera son pas, sans pour autant courire, cela ne se fasiait pas non plus...
Arriver à la hauteur de son amie, elle lui fit un sourire des plus sincère, rempli e bonheur. Elle pris les mains de Marie dans les siennes et lui dit rayonnante:

"-comme je suis heureuse de vous voir ici Marie... Je pensais justement à vous... Comment vous portez vous depuis notre dernière entre vu? "

Avec les évenements qui s'étaient passé dans son coeur et dans sa vie depuis quelques jours, Joséphine n'avait pas préter la moindre attention aux rumeurs de la cours, et elle n'avait donc pas ouie dire que Marie était devenu la préféré du Roi...

"-vous m'avez manque ma chere... "

Lorsque Joséphine arriva à sa hauteur, elle fut plus que ravie de voir que la jeune fille ne l'avait pas oublié.
En effet comme elle le disait beaucoup de chose c'étaient passées depuis leur dernière entrevue et il tardait à Marie d'en savoir plus sur ce qu'avais du vivre son amie avec la rencontre de son époux.

A vrai dire elle se sentait presque coupable, elle qui quelque jours avant disait avoir peur de devoir épouser un homme qu'elle ne connaissait pas et ne jamais connaître l'amour .... voila que c'était tout le contraire.

Mais le naturel de Marie était plus fort que ses sombres pensées et c'est donc avec le même sourire et un visage radieux qu'elle répondit à Joséphine:

"Je me porte à merveille, si vous saviez ...."

Puis Marie s'arrêta de parler, tournant la tête de gauche à droite. Au bout de quelques secondes elle trouva se qu'elle cherchait: un petit banc à l'ombre d'un grand arbre et à l'abri des oreilles indiscrètes.

"Venez, allons nous assoir làs bas nous y serons plus à l'aise pour converser"

Marie se dirigea donc d'un pas qui pouvait sembler quelque peu préssée vers le petit banc. Une fois arrivée elle s'y assit et attendit que Joséphine fasse de même.
Elle lui prit alors les deux mains dans les siennes et avec une voix plus discrète elle ajouta:

"Il me faut vous raconter quelque chose de merveilleux, mais en échange je veux que vous me racontiez tous de ce qu'il s'est passé dans votre de vie depuis notre dernière rencontre"

Et oui, Marie n'avait pas non plus oublié le Duc de la Richardière qui avait été sous le charme de Joséphine et Marie voulait croire que pour la jeune fille il restait de l'espoir ...

Le sourire qu'affichait Marie rassura Joséphine, les jours qu'elles avaient passé séparé l'une de l'autre n'avaient donc pas été horible pour Marie, bien aux contraire à ce qu'il paraissait...
Joséphine s'assie donc aux cotés de Marie Mancini, et elle poussa un soupire de bonheur, elles étaient enfin réunit.
Joséphine serra un peu plus fort les mains de son amie et lui dit avec sincérité:

"-je vous promet de tout vous compter... Mais parlez je vous en pris, ce que vous me cacher vous rempli d'une tellle joie que je brule de savoir ce que vous avez à me dire... "

La marquise avait tellement hate de connaitre le secret qui avait poussé Marie à vouloir se mettre à l'écart des regards pour parler. Les yeux de Joséphine éteincellait, elle était heureuse de voir que la vie de son amie devait avoir d'aussi belle surprise que celle qu'elle avait recu de la part de Simon...
La jeune femme ne désirait qu'une chose, rester ici assise pres de son amie, et passé le plus de temps possible en sa compagnie. Plus elle était près d'elle, plus elle oubliait son funeste destin de femme qui l'attendait quelques part dans les salles du chateau.

Les yeux de Joséphine reflétaient de la curiosité mais Marie ne manqua pas de remarquer une petite lueur inhabituelle. A coup sur il avait du se passer quelque chose de plaisant dans la vie de Joséphine et Marie ne manquerait pas de lui faire tout raconter.
Mais pour le moment c'était à elle de commencer et à vrai dire elle était tellement excitée d'avoir enfin une oreille sure à qui confier son secret qu'elle n'était pas sur de pouvoir attendre plus longtemps.

C'est donc avec une petite voix mystérieuse qu'elle commença:

"Joséphine j'aime !!"

Bon, elle n'avait pas criée en disant ces mots, mais sa voix trahissait une trop grande excisation. Elle qui deux jours plus tôt désespérait de trouver l'amour annonçait aujourd'hui qu'elle aimait.
C'est donc en rebaissant une nouvelle fois la voix qu'ell ajouta cette fois-ci, plus sérieuse étant consciente de dire quelque chose qui serait grave pour certaine personne

"J'aime .... le Roi"

Marie attendait à présent la réaction de son amie. Serait-elle en colère pensant que la jeune fille se jouait d'elle, où bien serait-elle heureuse pour elle, aurait-elle peur pour elle ....
Autant de possibilités qu'il n'y avait pas à écarter.
Elle se décida donc d'expliquer ce qui s'était passé à la jeune marquise, le soir où celle-ci l'avait quitté pour rencontrer son futur époux:

"Voyez vous lorsque vous êtes partis me laissant seule, un jeune homme m'a abordée et m'a invité à visiter les jardins. Je n'aurais jamais cru lui dire "Oui" et pourtant je l'ai fait, je ne comprenais pas ce qui se passait au fond de moi. Nous avons parlé au milieu de la Roseraie du Château et plus le temps avançait plus je me rendait compte que je l'aimais alors que j'ignorait qui il était ..."

Reprenant sa respiration et regardant furtivement si personne n'arrivait dans l'allée Marie continua:

"Nous nous sommes revues le lendemain, à la fête organisée pour le Roi dans les jardins .... et c'est la que j'ai appris qu'il nétait autre que le Roi lui-même !! Mais je l'aime Joséphine, comme jamais je n'avais aimé"

Joséphine eut d'abord envie de rire, son amie avait decidément le don pour la mettre de bonne humeur, mais lorsqu'elle vit les étincelles des yeux de Marie, et le sourire doux qui était étalé sur ses lèvres, la marquise ne put douter une seconde de ce qu'elle venait d'entendre...
Le Roi et son amie!! Comme cela était magnifique! Presuqe inimaginable mais plus que beau!

"-Par Dieu Marie!! La Roi!!"

Joséphine se tue un moment puis elle repensa à l'homme qu'elle avait rencotnré dans la bibliothèque du palais... Doux, attentionné, reveur, poli, et rempli d'un amour tendre à donner à une femme qui le meriterait!
Au fond cela n'étaonnait pas Joséphine, Marie et Louis était fait l'un pour l'autre...

"-Vous ne pouvez pas imaginer comme je suis heureuse pour vous Marie, Louis est un homme si bon et si tendre... Je vous avourais que cela ne m'étonne pas qu'il soit tombé sous votre si beau charme..."

A enfin la chance souriait à Marie, mais au fond, l'amour du Roi et de la nièce du cardianal n'était il pas autant sans issu que celui de Simons et de la jeune Marquise... Joséphine n'osa pas en faire part à son amie, elle ne voulait pas gacher son bonheur...

Joséphine était aussi enjouée que Marie à l'évocation de son amour pour la Roi. Il lui aurait tout de manière semblé étrange que la jeune fille est réagit autrement. Après tout l'amour était la seule chose que les deux filles avaient attendus dans le vie, alors pourquoi ne pas bien réagir ? En même temps, durant la fête elle n'avait pas eu d'autres preuves de la part du Roi que son attention envers elle. Nous pourrions que rien de concret ne s'était passé pendant la fête, mais Marie ne désespérait pas.
Elle ne souhaitait qu'une seule chose, qu'on lui pardonne d'encore vouloir y croire.

Marie rougit quelques peu face aux compliments de Joséphine, elle ne se trouvait pas vraiment extraordinaire et ne comprennait pas vraiment pour le Roi s'interressait à elle et pas à une autre.
C'est avec une voix rêveuse, et le regard lointain qu'ele confirma les paroles de son amie:

"Oui, un homme si bon et si tendre ..."

Si jamais les deux jeunes femmes se faisaient prendre à parler de cela, il naîtrait alors beaucoup de rumeurs. Mais après tout, tpresque outes les femmes de la cours devaient secrètement désirer que le Roi s'interesse à elle. Pourtant c'était à elle, simple courtisane qui n'avait rien cherché que cela était arrivée.

Mais Marie n'avait pas non plus oublié la promesse de Joséphine. Lorsque celle-ci était partit, Marie avait un peu discuté avec Simon, le Duc de la richardière et celui ci lui avait avoué ce qu'il ressentait pour Joséphine. Et elle avait aussi perçut dans le regard de la demoiselle une petite étincelle.
Elle voulait savoir de quoi il retournait.
Sortant alors de sa torpeur, elle s'exclama:

"Mais j'ai cru lire dans votre regard la dernière fois que nous nous sommes vu, quelque chose pour le Duc de la Richardière. Dîte moi tous Joséphine ?"

La changement de conversation, et le nom de Simon prononcé firent monté le rouge aux joues de Joséphine, décidéménent, elle n'était pas douée pour les secret... Oui, il était vrai que lorsqu'elle avait rencontré la Duc pour la première fois, Maire etait là et c'était d'ailleurs elle qui les avaient présenté l'un à l'autre...
Joséphine regarda autour d'elles, et apres s'étre assuré que personne n'était là, elle dit d'une voix timide comme si elle parlait à un confessionnal:

"-mon amie... Comment pourai je vous dire cela... C'est encore si confu pour moi meme... Je ne pensais pas que vous aviez percu mon regard l'autre jour... Comme j'aurai aimé pouvoir resté avec vous ce jour là au lieu d'aller à la rencontre de mon funeste destin... "

Et oui, quelques seconde apres avoir entrevu l'amour, Joséphine avait été condané à se rendre au près de son futur époux... Un homme sombre, et qui n'était d'aucun interet pour la demoiselle...
Voyant le regard insistant de Marie, Joséphien se décida:

"-tres bien, je vais tout vous confier. Il y a de cela trois jours, j'étais comme chaque dimanche à la cathédral notre Dame pour l'office du jour. Ne voulant pas me retrouver tout de suite ne la compagnie de mon futur époux, j'ai donc demander à rester seule afin de prier."

Joséphine marqua une pose puis elle réprit le regard au loin, revivant dans son coeur le court instant passé avec Simon dans l'intimité de la sacristie.

"-alors que je me recueillais, une vioix vint à moi, et en me retournant je vis le doux et souriant visage de Simon de la Richardière... Il m'a tout d'abord demander pourquoi il n'appercevais plus mon "si joli sourire", et puis après que je lui ai répondu, il m'a prié de le suivre... Il m'a entreiné dans la sacristie, et il m'a ouvert son coeur... Jamais je n'aurai pensé avoir eut autant d'effets sur cet homme... Il m'a confié que son coeur ne battait plus que pour moi et qu'il ne vivait que dans l'attente de me voir..."

Le souvenir du baiser échangé lui brula les lèvres et elle dit alors, serant les mains de Marie dans les siennes:

"-nous aovns échangé un baiser..."

Marie écouta avec attention le récit de la jeune marquise, et malgré son intêrét grandissant elle ne fit jamais rien pour la couper. En réalité elle était bien trop absorbé par son récit qu'il ne lui serait pas venue à l'idée de faire cela même pour demander plus de détails. A mesure que Joséphine avançait dans son histoire le sourire de marie s'agrandissait de joie. Ainsi elle avait vu juste quelques jours auparavant, Joséphine avait éprouvé quelque chose pour le Duc et cela avait été réciproque.

Dans la même journée, les deux femmes avaient trouvée ce qu'elles cherchaient . Et voila qu'elles se retrouvaient seule dans les jardins du château pour se conter leurs aventures.

"Un baiser !!"

Marie n'avait pu s'empêcher de s'exclamer. Heureusement que les deux jeunes filles étaient vraiment seules pour le moment, en effet cela n'aurait pas été agréable si quelqu'un connaissant le futur époux de Joséphine l'avait entendu parler d'un baiser que les deux promis n'avaient pas échangés ... un scandale.

De plus, Marie devait avouer qu'elle était, comment dire un peu ... jalouse. Et oui ! Elle n'avait pas toujours rien échangé avec celui qu'elle aimait, lors de la fête ils n'avaient fait qu'être seul. Cela fit naître en Marie une pointe de doute. Peut-être que si le Roi ne l'avait pas embrassé, alors il ne l'aimait pas ? Deux amants devaient-ils obligatoirement s'embrasser pour se montrer leur amour ?
Encore une fois l'inéxpérience de Marie la faisait douter.

"Je savais que cette chose arriverait après vous avoir vu tous les deux."

Le coeur de Joséphine était plein d'un amour immense qu'elle ne voulait donner qu'à Simon de la Richerdière, elle ne voulait etre qu'avec lui, et avec personne d'autre...
Malheureusement le destin en voulait autrement, et elle savait parfaitement que leur amour naissant serai tuer avant de voir le jour... Jamais ils ne pourraient vivre ensemble... Si ils voulaient se voir ou bien s'aimer, cela devrait etre fait en secret... Jamais personne d'autre ne devrait savoir... Si la rumeur se répendait, Joséphine serai le déshonneur de sa famille...

En pensant à cela, son sourire retomba peu à peu... Comme elle aurait aimer etre quelqu'un du peuple pour nepas avoir de contrainte absorde comme celle ci... Un soupire lui échappa et elle dit à son amie qu'elle voyait un peu plus inquiet à chaque seconde devnt son attitude:

"-excusez moi Marie de vous compter ainsi mon bonheur puis de ne plus y croire, mais dans quelques jours se serrait femme marié et jamais je ne pourrai aimer Simon comme je le voudrai... Je ne peux pas m'attacher à lui, alros que ma vie me condane à m'éloigner de lui par devoir... L'homme que je dois épousé est posséssif et jaloux, et si jamais un jour un rumeur venait à naitre, je ne m'en remettrais pas... "

Gardant les mains de Marie dans les siennes, Joséphine détourna son regard, pour contempler les fleurs des bosquets, et pour essayer de cacher les larmes qui commençaità monté dans ses si jolies yeux...

Marie n'aimait pas du tout voir le sourire et la joie de Joséphine se dégrader d'instant en instant. C'est vrai que cela n'était pas juste, mais Marie n'était pas pour que la jeune fille renonce. Elle était bien placé pour le savoir, elle qui aimait le Roi, n'avait pas pu agir comme elle le souhaitais à cause de la cours. Son amour à elle, était aussi limitée car elle ne pouvait aimer librement le Roi, même si elle espérait plus que tout que cela change un jour.

"Ne vous laissez pas abattre mon amie et gardez l'espoir. Même si vous devez aimer en cachette, faîte le, même si cela est dangeureux. Je suis convaincu que si vous ne le faîte pas cela vous détruira."

De belles paroles, plus facile à dire qu'à appliquer. De son côté Marie n'avait pas encore la menace d'un futur mariage avec un inconnu, elle ne comprenait donc pas vraiment l'angoisse de Joséphine. Et puis Marie était encore une grande enfant, inscouciante n'ayant pas vraiment conscience que dans ce monde rien n'est acquis et que le plus souvent on n'a pas ce que l'on veut.

"Regardez moi ...."

Le visage de Marie s'était fait plus sérieux, même si l'excitation et sa propre joie ne l'avaient toujours pas quitté. Elle se voulait rassurante. Marie aimait beaucoup Joséphine, c'était son amie et elle ne voulait pas que celle-ci souffre alors qu'elle était heureuse. Cela lui aurait fait du mal et elle se serait sentie coupable.

"Ne renoncez jamais à votre amour pour le Duc, il est bien plus important que toutes les couronnes, les joyaux et les grandes richesses de ce monde."

Les paroles de Marie étaient tellement sincère et Joséphine aurai adoré pouvoir faire tout ce dont son amie lui parlait, mais cela était bien trop risqué...
Si un jour quelqu'un les voyait ensemble cela allait faire des vagues dans la haute société... Deja que Joséphine avait eut des ennuis avec son père par ce qu'elle allait porter son aide aux pauvres gens, elle ne voulait pas etre le déshonneur de sa famille...

"-Marie si vous saviez comme je brule de faire ce que vous me dicter, mais imaginer un seul instant que des rumeurs circule... Je ne suis pas encore marier et je trompe deja mon mari... Je ne veux pas faire souffrire mes parents meme si ils ne me comprennent pas... Je ne peux pas leurs faire cela..."

Joséphine savait que ce qu'elle venait de dire signifiait qu'elle se sacrifiait pour l'honneur de sa famille mais elle ne pouvait pas se permettre de faire cela... Il fallait au moins qu'elle attend d'etre marié pour prendre amant... En souhaitant qu'elle ne donne pas naissance à un enfant d'un autre que son mari...

"-comme l'amour est beau et à la fois il me fait tant souffrire... Le pire c'est que je ne sais pas quoi dire à Simon... Je sais que si je suis près delui je ne pourraipas m'empecher de laisser libre cour à mon amour..."

Les paroles de Joséphine faisait presque souffrir Marie. Elle s'en voulait vraiment d'avoir partager son bonheur avec elle, pour ensuite l'entendre dire qu'elle ne pourrait jamais vivre le sien. Marie ne voyait rien pour l'instant qui pouvait l'empêcher d'aimer le Roi, tant qu'elle était discrète. Mais il vrai que pour Joséphine cela serait bientôt différent, qu'elle soit discrète ou pas, elle serait bientôt marié.

Elle tenta alors de rassurer la jeune marquise, de lui dire qu'elle pouvaient encore être heureuse avant de devoir se "sacrifier" pour l'honneur de sa famille:

"Justement Joséphine si vous n'êtes pas encore mariée vous ne trompez personne !"

Mais Marie vu bien sur le visage de Joséphine que ce qu'elle avait dit n'avait pas servit à grand chose. Après tout ce qu'elle faisait était honorable, elle voulait faire passer sa famille avant elle et cela était très courageux. Marie ne savait si elle aurait eu la même volonté et si elle aurait e la même détermination. Elle aurait surement fuit ses "responsabilités", comme on pouvait appeler cela.

"Aimer le, gardez le dans votre coeur. Même si vous n'avez le droit de l'aimer devant les autres aimer le en vous !"

Voila de belles paroles bien utopiques, mais devant une personne triste n'a t-on pas envie de dire ce que l'autre à envie d'entendre ? Ce qui lui fera du bien ?
C'est bien ce que Marie était en train de faire, elle voulait juste que Joséphine continue à y croire, qu'elle retrouve son sourire

Comme les paroles de Marie étaient belles, décidement, la demoiselle savait toujours dire ce qu'il fallait au bon moment... A chaque fois que Joséphine était en doute, Marie avait été là pour lui parler et lui remonter le moral... La nièce du cardinal était vraiment une amie parfaite... Que Joséphine ne voulait échanger contre rien au monde...
La marquise esquissa un légé sourire en pensant que meme si elle ne pourrai jamais se montrer au bras de Simon, elle l'aimerai tout de meme, en secret, au fond d'elle meme... Rien ni personne ne l'en empécherait!

"Marie, comme vos paroles sont douces, et mon coeur les recois comme un souffle d'espoir... "

Soudain elle se rendis compte qu'elle devait surement déprimer et lasser la pauvre Marie... A chaque fois Joséphine venait compter ses histoire à la jeune femme et celle ci était toujours prete à lui parler pour la reconforter, mais Joséphine savait bien qu'elle devait ennuiller Marie avec ses histoire d'amour impossible...

"-excusez moi Marie, je suis navré de venir encore une fois pleurer sur vos épaules... Parler moi plutot de Louis et de vous... Je veux tout savoir... "

La vie était peut etre des fois bonne à bien y reflechir... Peut etre que Marei pourrai vivre son amour avec passion et tendresse, libre comme l'air...

Marie était ravie d'entendre dire de la bouche de Joséphine que ces paroles lui faisaient du bien. Bien sur ce qu'elle lui avait dit pouvait sembler quelque peu utopique sous certain aspect, mais il n'en restait pas moins qu'elle pensait chaque mot qu'elle avait. Et voir ainsi la jeune marquise recouvrer le sourire rassura Marie.

L'espoir était tout pour deux jeunes femmes comme elles. Marie était comme Joséphin, une femme avec de nombreux rêves qui ne correspondaient souvent malheureusement pas au code de la socité dans laquelle elles vivaient. Mais elles s'y accrochaient le plus possible.

"Vous ne m'ennuyez point à venir, comme vous le dîtes, pleurer sur mon épaule. C'est à cela que doivent servir les véritables amies !"

Oui, Joséphine était son amie, et surement la seule véritable amie parmis les nobles qu'elle avait pour le moment à la cours. A vrai dire ses véritable se comptait pour l'instant sur les doigts d'une seule main. Il y avait Joséphine et Isabelle. Et elle leur devait beaucoucp. Joséphine venait de son monde et avec elle, elle pouvait partager tous ce qui se rapportait à la cours. Isabelle était une femme des plus simples et pourtant, malgré sa condition, bien plus enjouée qu'elle et Joséphine réunis. C'est cela que Marie lui enviait.

Quand à parler d'elle et de Louis, voila la chose qui prit Marie de court. A vrai dire, même avec Joséphine, cela lui fit monter le rouge au joues. Il y avait tellement de chose à raconter, tellement belles pour la jeune fille. Oserait-elle ?
Inspirant, puis souriant assez gênée, elle commença:

"Vous savez je ne sais pas si il y a beaucoup à dire ..."

Oui, c'était une certaine manière de se défiler, ou bien de faire durer le plaisir. Marie ne garderais pas cela pour elle avec Joséphine, mais parler d'elle comme cela n'était pas son habitude.

"Comment raconter avec des mots la passion qui abrite mon être ?"