se promène (Pv: joséphine)

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Adélaïde venait d'entrer dans l'orangerie. Cette orangerie si mythique que tout le monde révait de connaitre. Ces fruits exotiques et ses animaux que personne ne connaissait la fascinaient grandement.
Elle s'avança dans les allées en sentant chaque fruit à sa porté. Ils avaient une odeur délicieuse et leur goût devait l'être aussi à première vu.
Oserait-elle en prendre un et le manger? Non elle avait bien trop peur de se faire prendre et réprimander par la suite. Elle se contenterait donc juste de sentire leur odeur et de les toucher. C'était déjà bien assez.

Elle remarqua un banc un peu plus loin et décida d'aller s'y assoir. Elle parcourut les quelques mètres qui les séparaient puis s'assit soulagé de pouvoir se reposer un peu. Voila déjà une bonne partit de la journée qu'elle arpentait chaque recoin du château encore non découvert et cela l'avait plus qu'épuiser. Ici, elle pourrait au moins se reposer.

L'orangerie, paradis de senteurs, délise pour les yeux... Oui, ce lieu était apres la roseraie, l'endroit préféré de Joséphine de Romans...
La jeune femme marchait d'un pas légé dans les allées de l'orangerie, elle était sereine...

Aujourd'hui elle ne voyait pas son futur époux, et cela l'empliçait de bonheur... Elle ne s'était toujours pas habitué à la présence froide de cet homme qui deviendrait bientot son mari...
De toute façon son coeur n'était plus à prendre, un autre homme l'avait deja volé...

Les pensées de la jeune femme se tournait vers lui, et son esprit ne pensait qu'à lui, en fermant les yeux, elle revoyait son sourire délicueux, ses yeux rieurs, elle entandait son rire et ses mots si tendre...
Elle ne voulait pas pensée à ce qu'il adviendrait d'eux, meme si elle savait que leur amour devrait etre vecu dans l'ombre et surtout dans le plus grand secret...

Invité

Elle repensa à Philippe. Ce cher Philippe qui mettait de la gaïeté là où il passait. Il était très bizarre certe et on disait de lui qe le vice italien lui collait à la peau mais cela importait peu à la jeune fille après tout elle l'aimait beaucoup et il était toujour là pour lancer quelque chose de décontractant. Elle sourit à cette pensée... Oui elle l'aimait beaucoup mais elle ne l'avait pas vu depuis quelques temps. Ils avaient bien rit pourtant la dernière fois qu'ils s'étaient vu?!

Elle se leva et recommença à marcher doucement dans les allées. Le parfum que dégageaient les plantes lui montait aux narines et lui faisait grandement du bien. Elle ferma les yeux pour savourer ce pur instant de bonheur et quand elle les rouvrit elle tomba nez à nez avec une jeune fille qu'elle n'avait encore jamais vu. Elle avait bien faillit la bousculée à ne pas faire attention où elle allait!

"Je suis désolée Mlle j'ai faillit vous renverser. Je ne faisait pas attention où je mettais mes pieds."

La jeune femme qui venait d'eviter de peu Joséphine venait de se confondre en excuses, bien que celle ci n'aient servies à rien... Avec ce qu'elle vivait en ce moment, Joséphine était incapable de se facher ou bien de repondre avec violence. Elle n'était que tendresse et reverie aujourd'hui...
Un sourire radieux s'afficha sur ses lèvres fines, et elle dit à l'intention de la jeune femme:

"-ne vous excusez pas, cela n'est rien... Comme vous l'avez dit vous meme, vous ne m'avez pas renverser, laisser donc cela... C'est deja oublié.... "

La jeune femme était encore une enfant, avec des boucles blondes et des yeux innocents...

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La jeune fille semblait perdu dans un autre monde. Elle ne semblait même pas l'avoir remarquer. Elle avait un air rêveur qui ne trompait pas. Un homme était passé par là.

-Mlle vous semblez amoureuse?? Suis-je en train de me trompez?

Elle lui sourit. Elle était sur d'avoir toucher la corde sensible. C'était fou comme elle rencontrait de jeunes gens amoureux dans ce palais.

Bien qu'elle soit rêveuse et tendre à cause de l'amour naissant et de la lumière qu'il apportait dans sa vie, Joséphine n'était pas pour autant perdu. Et les paroles de la jeune femme lui parraissèrent déplacé, surtout pour des jeunes femmes qui ne se connaissaient pas le moins du monde.
Le regard de Joséphine s'assombrit un peu et elle ne put s'empecher de dire à la jeune femme sur un ton un peu froid:

"-il ne me semble pas que nous nous connaissions et je ne suis pas d'accord à ce que vous pensiez des choses pareils de moi. Je vous trouve presque impolie mademoiselle."

Pour qui seprenait cette personne à ainsi lui parler? Ce n'était pas tellement que Joséphine était vexé mais elle n'aurai pas aimer que quelqu'un apprenne qu'elle aime secretement quelqu'un d'autre que celui qu'elle devait épouser, elle ne voulait pas de scandale, et pas de rumeur...

Invité

Elle baissa les yeux, rouge de confusion comme une enfant prise en faute. C'est vrai qu'elle avait été très indiscrête de demander cela. Mais elle ne pouvait s'en empêcher. Malgré ses 17 ans elle était rester encore une enfant et aimait se mêler de tout.

-Je suis désoler Mlle vous avez raison je n'aurais pas du être si indiscête. Veuillez m'excuser.

Mais elle n'avait pas voulu faire du tort à la jeune fille. Elle aimait et avait bien de la chance. Elle qui devait se marier et trouver quelqu'un n'aimait pas et cela la rendait bien mélancolique parfois.

-Je vous assure je ne voulais pas vous vexer, ni quoi que ce soit d'autre.

Elle laissa un temps de silence et reprit

-Vous avez bien de la chance d'aimer et d'être sûrement aimer en retour.

De la chance, la demoiselle pouvait le voir ainsi bien que parfois Joséphine avait du mal à entre voir un avenir heureux pour elle et Simon . Comment pourrait il s'aimer alors qu'elle était deja presque marié à un homme hostère sombre et froid, pour qui son coeur n'approuvait aucun sentiment hormis de la peur et du dégout...
Le Duc de la Richerdière était si doux et si tendre, avec sa joie de vivre qui vous faisait revenir un sourire aux lèvres rien qu'à la vu de ses yeux qui brillaient...

Les excuses de la jeune femme touchèrent Joséphine et elle dit d'une voix plus douce mais non sens dévoiler sa vie privé, pour na pas faire de ragots à faire voyager dans toute la cours du Roi.

"-Je vous en pris excusez moi pour avoir été si blaissante, mais ma vie n'est pas celle que vous croyez..."

Joséphine voulait abréger cette entrvu car elle ne voulait pas confier sa vie sentimentale tourmenter à cette jeune femme qu'elle ne connaissait pas le moins du monde. Elle pouvait très bien etre une espionne de son futur mari, Joséphine savait bien qu'il la faisait suivre...

Invité

La jeune fille en face d'elle semblait s'être clamez et avoir bien apprécié ses excuses. Elle était vraiment désoler. Elle n'avait pas tenu compte de ce qui aurait pu arriver si quelqu'un l'avait entendu. Les ragots à la Cour auraient causé beaucoup d'ennuie à la jeune fille.

-Je vous suis fort reconnaissante d'avoir accepté mes, il faut bien le dire, pitoyable excuse.

Oui des pitoyables excuses. De simples excuses comme celles-ci ne pouvaient faire disparaître les propos blessant qu'elle avait dit.
En plus elle s'était permis de juger sa vie privée alors qu'elle ne se connaissait même pas.

-Je me nomme Adélaïde de Rosille et vous Mlle??

Discuter ici et debout n'était pas très confortable. Peut-être devraient-elles mieux aller s'assit sur le banc où elle était tout à l'heure pour pouvoir se connaître un peu mieux et montrer à la jeune fille que ses paroles n'étaient pas dites dans de mauvaises intentions.

-Cela ne vous dirait-il pas d'aller nous assoire pour discuter un peu au lieu de rester ici au milieu de l'allée?

La demoiselle était égréable, et elle paraissait gentille... Joséphine ne put donc pas refuser l'invitation de la jeune femme, et elle répondit un sourire aux lèvres:

"-Joséphine de Romans..."

Elle avait dit son nom sans prononcer son statut, elle n'aimait pas qu'on la juge sur son rang. Marquise était un statu honnorable, et bientot elle serait duchesse...
Joséphine vint s'assoire sur la banc le plus proche et elle dit alors:

"-je ne vous ai jamais croisé durant mes longues après midi dans les parc du palais, depuis combien de temps etes vous à la cours? "

hj: je suis deso c'est nul mais j'ai pas d'inspi

Invité

Elle s'assit avec elle. La jeune fille paraissait agréable et joyeuse ce qui incita encore plus Adélaïde à faire connaissance. Elle ne lui avait pas donné son titre juste son nom et cela lui convenaient parfaitement. Elle n'aimait pas être jugée sur son titre. Après tout l'on pouvait bien être duchesse et être désagréable. Le titre ne faisait pas la qualité d'une personne.
-Je suis ravi de vous rencontrer Joséphine. J'espère que nous deviendrons vite amies...

Elle lui demanda depuis combien de temps elle était à la Cours. Elle-même ne le savait plus cela lui semblait une éternité déjà. En y réfléchissant bien 2 semaines devaient être justes.

-Si je ne me trompe pas cela fait seulement 2 semaines que je suis ici et pour tout vous dire, depuis seulement quelques jours je me promène à ma guise ici.

La jeune fille lui avait vite pardonné et cela la réconforta quelque peu. Peut-être pourrait-elle se relancer sur le premier sujet aborder. Ce n'était pas une bonne idée après tout; mieux valait que ce soit elle qui lui en parle.

-Avez fait beaucoup de connaissance depuis que vous êtes ici Mlle?

L'idée d'avoir une nouvelle amie plaisait à Joséphine mais elle trouvait que la demoiselle était bien trop sur de la chose. Une amitié ne naissait pas comme cela, du moins du point de vu de Joséphine. Bien qu'avec Marie elles se soient tout de suite entendu, Joséphine était une jeune femme timide et assez réservé, n'ayant pas eut l'habitude de cotoyer d'autres jeunes femmes durant son enfance...

La dernière question d'Adelaïde fut retenu par Joséphine et elle reflechit un instant avant de dire avec politesse:

"-vous savez je ne suis pas à la cours depuis longtemps... Mon père étant un homme important pour le royaume, j'ai été plongé dans la noblesse depuis toujours mais la cours ne met ouverte que depuis peu... Je n'ai pas recontré beaucoup de personne "interessante" disons cela comme ça..."

Elle s'arreta un instant pour pensé quelques econde à Simon et Marie, puis elle dit de nouveau en regardant la jeune femme assise à coté d'elle:

"-j'ai une amitié sincère et profonde pour la nièce du Cardinal Marie Mancini, nous nous sommes rencontré il y a deja quelques temps et il est vrai que je tiens beaucoup à elle... J'apprecie grandement l'amitié que me porte le Duc de la Richerdière que j'ai connu par lintermedière de Marie... C'est un homme rieur et amicale... "

Elle disait des mots simple pour ne pas eveiller de soupçons de la part de la jeune femme qui lui tenait compagnie. Joséphine ne tenait pas à ce que l'amour que portait Simon pour elle soit devoilé aux autres. Si le Duc de Dorchester l'apprenait, Joséphine serait le désonheur de sa famille...

"-je connais également le Duc de Dorchester, dontje deviendrait l'épouse dans quelques temps... "

Sa voix s'était fait un peu plus sombre et son regard s'était déporté sur le sol...

Invité

Comme quoi cette chère Marie était connue de tout le monde dans ce palais. Une image de la jeune fille souriante traversa son esprit et la fille sourire.

-Je connais aussi Marie mais beaucoup moins que vous. Nous nous omme rencontré lors d'une balade dans la forêt avec le roi.

Simon de la Rchiardière, ce nom ne lui disait rien mais celui qui le portait devait être sympathique d'après ce que disait la jeune fille

-Je ne connais point ce jeune homme mais il fort amical c'après vos dires.

Elle vit le regard de Joséphine s'assombrir quand ele parla du Duc qu'elle devait épouser. De toute évidence, elle ne semblait pas ravi de la faire.

-Je suis désoler pour vous Mlle.

Elle posa sa main sur celle de la jeune fille en guise de réconfort. Elle la connaissait à peine et ne voulait pas faire de geste qui pourrait faire qu'elles ne puisssent se cotoyé de nouveau.

Joséphine leva les yeux sur le visage de la jeune femme qui se tenait à coté d'elle. Elle venait de faire un geste si amicale que Joséphine ne put qu'éprouvé de la tendresse pour elle meme si elle ne la connaissait que tres peu...

"-nous vous appitoyez pas sur mon sort je vous pris, meme si au fond de moi je sais que je n'aimerai jamais d'un grand amour le Duc de Dorchester, je ferais mon devoir et je l'épouserais, la tete haute... La vie est parfois faite de petit chose ainsi qui vous forge la caratère et l'ame..."

Joséphine venait de parler avec fermeté, elle s'était cinvaincue qu'elle devait faire cela meme si c'était son propre sacrifice, mais elle ne pouvait pas décevoir son père et encore moins sa bien aimée mère... Elle devrait malgré tout, epouser Maximilen de Dorchester...