Monsieur marcha vers la porte de la Chambre de son frère impatiemment,il ne l'avait pas vu depuis là fête que ce dernier avait organisé.Monsieur tenais beaucoup de son frère, il faut dire qu'ils étaient très proche l'un de l'autre.Puis il avait tant de question à lui poser sur les rumeurs de Marie Mancini et lui que l'envie était d'autant plus pressante.Monsieur toquait alors à la porte de sa chambre tout en pensant aussi à sa belle dulcinée, il avait tant envie de faire partager son bonheur à son frère ainé. Le temps d'aujourd'hui était mausade, et c'est l'une des raisons qui fesait que monsieur s'ennuyait et qu'il était sur de trouver son frère dans sa chambre avec un peu de chance seul.Des moments seul avec lui il y en avait peu, son frère était le grand souverain de la France, Le plus Grand Souverain d'Europe.

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Je suis partit un peu en live, mais j'essaye d'écrire le plus possible ^^ Razz

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Qu'il était bon de pouvoir se retrouver ainsi seul avec soi même parfois. Etre Roi n'était tout de même pas de tout repos, entre les réceptions plus diverses les unes que les autres, les conceils des ministres capitaux à son éducation de souverain Louis n'avait que très peu de temps à accorder à lui même et à Marie, sa belle Marie. Cette douce femme qu'il n'avait pas vu depuis à peine quelques heures et qui lui manquait déjà autant que s'il ne l'avait pas vu depuis bon nombres d'années... Comment imaginer être séparé de celle que l'on aime pendant une année entière voir même plusieurs ? Cela était inconsevable au jeune Monarque...

C'est perdu dans ses pensées qu'ils entendit quelqu'un frapper à sa porte, se relevant de son lit, il remit sa perruque en place, en effet cette dernière avait quelque peu bougé lorsqu'il c'était allongé sur son lit, verifia s'il était présentable avant de se diriger vers la fenetre. Pourquoi la fênetre me demanderez vous ? Et bien tout simplement parce qu'il aimait beaucoup la vue qu'il avait depuis ce lieux. En effet, comme depuis la fenetre des appartements de Marie, il avait vu directe sur la Roseraie... C'était forcément un signe de la providence...

Cependant, avant de se perdre une fois de plus dans ses pensées, le jeune monarque pria la personne se trouvant derrière la porte d'entrer. Quelle ne fut pas sa surprise de voir alors surgir son frère cadet, Philippe d'Orléans...

- Mon frère ! Je suis bien heureux de vous revoir !

Aussi étrange que cela puisse paraître, Louis était bien surpris se voir Philippe en ce lieux, en effet il était plutôt rare que Monsieur vienne rendre visite à son frère ainé dans ses appartements... Il devait sans doute y avoir quelque chose qui le tracassait et dont il ne savait à qui en parler... Les deux hommes avaient toujours étés très liés et ce malgrè le fait que Louis devienne Roi et pas Monsieur, mais, autant qu'il sache, cela ne déplut pas à ce dernier qui, celon lui, n'était pas fait pour ce rôle...

Invité

Le temps que son frère mis à répondre lui parut interminable, perdu dans ses pensées Monsieur commençait à en perdre son latin si bien que lorsque Louis le pria de rentrer celui-ci failli tomber en ouvrant la porte...Il en a presque oublié sa révérence

-Bonjour, mon frère..... le temps est splendide vous ne croyez pas?
Mais les rumeurs que le me rapporte le son moin, et j'ai bien peur qu'elle fasse scandale!

Monsieur lança un regard amical à son frère pour lui faire comprendre que ce n'est pas lui l'ennemi qu'il devra affronter.Monsieur repris alors par la question qui démange la bouche de tout la cours:

-Est-il vrai mon frère que vous contez fleurette à Mlle Mancini?

Monsieur regarda son frère de tel façon que LOuis ne puisse lui mentir

Hs : Je veux peut être te paraître embétante, mais tu pourrais pas essayer de développer un peu plus dans le prochain message ? Parce que j'ai pas vraiment matière pour te faire une belle réponse là...

Comme à son habitude, Philippe entra en oubliant presque sa réverance. Bien sur cela ne choqua pas sa Majesté, en effet il est de notoriété publique que Monsieur est... comment dire... une personne quelque peu différente des autres. Et non pas que d'apparence, mais aussi au niveau du comportement. En effet, cet homme devait sans aucun doute être le seul frère de Roi du monde à faire fit des convenances au point d'en oublier de saluer sa Majesté lorsque cette dernière entrait dans un lieux quelqu'il soit ! De plus, Monsieur avait... comment dire... quelques tendances le rendant bien singulier aux yeux de la Cour.

C'est pour toutes ces raisons que Louis souria à l'oublie de son frère bien aimé. Qu'il était plaisant de voir un visage agréable mais surtout véritable dans ce monde où paraître était la seule règle. La question surpris quelque peu le monarque, Monsieur était-il venue le trouver uniquement dans le but de l'entretenir du temps ? Tout en se tourant de façon à pouvoir observer ce qu'il se passait à l'extérieur, Louis répondit à son petit frère.

- Il est vrai que le temps est des plus agréable aujourd'hui.

Et en effet, c'était bien le cas. Un soleil plus brillant que jamais propagé sa chaleur par delà un ciel couleur océan et qui plus est sans un seul nuages à l'horizon. Que demander de plus si ce n'est une balade dans les jardins mains dans la mains avec celle que l'on aime ? Cette femme que l'on a pas vu depuis juste quelques heures et qui nous manque déjà beaucoup plus que l'on aimerait... Louis était totalement dépendant de Marie, il avait conscience de ce fait mais il n'était cependant pas en mesure de lutter contre l'attirance que cette jeune Italienne excercait sur lui... C'était beaucoup plus grand et fort que lui...
Tourant le dos à son frère, Louis ne put voir le regard que lui adressa son frère, ce regard qui était censé le rassurer et lui faire avouer que oui, il était bien amoureux de Melle Mancini. N'ayant pas cela, le coeur du monarque se mit à battre plus fort qu'il ne l'aurait voulu. Voyons Louis ce n'est que votre frère, calmez vous ! Rien n'y faisais...

Alors, Louis inspira un grand coup avant de répondre sur le ton de la conversation

- Il est vrai mon frère, que Melle Mancini est une amie très chère à mon coeur.

"Une amie très chère à mon coeur..." voilà une belle manière, bien que détourné, d'avouer à quelqu'un les sentiments que l'on porte en son sein... Monsieur comprendrait-il ce que son frère voulait dire par là ? Oui, sans aucun doute ! Monsieur devait être la personne la plus habilité pour lire entre les lignes dans tout le château !

Invité

Monsieur regarda son frère ainé, pour la première il le voyait véritablement amoureux,la passion que Louis offrait à la belle Marie Mancini n'était pas une simple amourette de printemps mais un véritable amour qui pouvait très bien empècher son frère de respirez rien qu'en voyant sa belle dulcinée passer près de lui. Pour la première fois Louis était épanouï dans le rôle de jeune Monarque qu'il détient.
Monsieur ne put s'empècher de penser lui aussi à sa belle, malgrés c'est penchant homosexuelle il pense éprouvé de véritable sentiment pour la jeune et belle Adélaïde.Et peut être que Louis à la nouvelle de cette amour serait enfin fière de son frère Cadet, seule la suite nous le révèlera, seule le temps imposera son choix.Après avoir lui aussi regarder le soleil àtravers la fenètre qui donnait sur la roseraie Monsieur répondu taquin:

-Mon chère Louis Dieudonné , mon frère vous savez quel estime j'ai pour vous, et vous savez très bien que je vous comprend en cette instant, l'amour est un présent merveilleux pour tout homme de bonne ou de mauvaise condition, mais j'ai peur en ce jour que cette amour vous conduise à votre perte.

Monsieur baissa la tête, il est vrai qu'il s'inquiétait énormément et que beaucoup seront contre cette amour, en particulier leur mère Anne D'Autriche, le Cardinal Mazarin qui tuerait cela est sûr sa propre Nièce au profit d'une riche princesse, et en particulier une qui le marquerait dans l'histoire de la France.Et puis la cours, cette cours avide de pouvoir de grâce, de titre, turait sans hésiter pour avoir une passade amoureuse avce le Souverain.Monsieur reprit alors:

-Louis je ne suis en auccun cas votre ennemi, mais je suis votre frère un frère de sang et un frère qui vous aimes et je suis peut l'un des seul à ne pas convoiter votre trône.

Monsieur s'assit sur le fauteil le plus proche , tout en admirant les fleur posser sur la table à côter, elles étaient parfaites, l'une était rouge avec un coeur jaune, les pétales régulière, une autres était une rose blanche , une couleur sainte et pleine de clarté, et une dernière représentait le roi , imposante les pétale majesteuse de couleur jaune avec un coeur marron pour les yeux doux de se monarque qui sera dans l'avenir sévère...

hs c'est bon?mdr j'ai eu beaucoup de mal, mais l'expérience est riche....

Hs : Comme je le l'ai dit sur msn, c'est déjà beaucoup mieux malgè les petites erreurs qui persistent ! Mais ça viendra ^^

Marie une amourette de printemps ? Jamais !! Louis était persuadée, il sentait au plus profond de son coeur que cette femme aux yeux émeraudes était la femme de sa vie. Que jamais il n'émerait quelqu'un d'autre comme elle... Qu'elle serait un jour la mère de ses enfants et que même s'il ne pouvait faire d'elle la Reine de France il la garderait à ses côtés par n'importe quel moyens... Le seul fait d'imaginer sa belle au milieu des jardins en train de rire à pleine dent des betîsses que seraient en train de faire les petits, fit sourrir le monarque. Ce sourrir ne dut d'ailleurs pas échapper à Monsieur...
En effet, ce dernier s'approcha de la fênetre devant laquelle Louis était tourné. Le regard perdue dans la roseraie, il pensait à Marie tout en écoutant ce que lui disait son frère. Ainsi, comme tout le monde il pensait que cet amour ne devait être, qu'il n'avait lieux d'exister... Même s'il comprenait le raisonnement de son frère, le Roi ne put s'empêcher d'être déçue par cette réponse... C'est pourtant de l'espoir plein la voix qu'il répondit à Monsieur. Qui sait, peut être que la force de ses sentîments suffiraient à faire changer d'avis ce frère dont le jugement compte plus qu'il n'y parait pour Louis...

- Pourquoi cet amour devrait-il me mener à ma perte ? Pourquoi mon frère ? Melle Mancini est-elle moins digne de mon amour que toutes ces femmes ne cherchant qu'a optenir mes faveurs ?

Evidement, cela n'était pas dit sur un ton agressif, bien au contraire ! La voix du souverain se faisait lourde de sens mais aussi interogatrice. Ce que désirait Louis c'était de savoir ce que son frère pensait au plus profond de lui. Ce que lui ressentait vis à vis de cet amour, était-il heureux que son frère ai enfin trouvé le bonheur dans les bras d'une femme ? Une femme qui, qui plus est, lui donné enfin envie d'accepter ce rôle qu'étais le sien... Ce rôle qu'il détestait d'aussi loin que remontait ses souvenirs.

- Je sais que jamais vous n'avez convoité mon trône Monsieur. Ce que je désire cependant savoir, c'est ce que vous en pensez vous ! Pas ce que Monsieur frère du Roi pense, mais ce que Philippe, frère de Louis pense de cet amour...

C'est donc en attendant une réponse que Louis regarda son frère s'assoier dans la chaise bordant une table sur laquelle était exposé un bouquet de fleur que Marie lui avait offert voilà quelques heures... Voyant que la réponse se faisait attendre, Louis s'asseya pas terre à côté de son frère cadet. A présent, ils n'était plus deux frères membres de la famille royale mais bien deux frères partageant un secret... Un très gros secret.

Invité

Ce que pensais son frère cadet lui Philippe D'Orléan? Lui même n'en savait rien, enfin si ....Il aimait son frère ainé et le respecte , mais tout cela dépassait ce pauvre Philippe qui ne pouvait que mettre en garde le roi.Monsieur regardait son frère ainé assis par terre à ces côter, se secret était lourd et très dangereux pour le trône de Louis.
Et c'est en pensant à cela que Monsieur répondit avec tout l'amour qu'il pouvait faire ressentir à Louis.

-Louis, ceci est un lourd fardeau, et je doute pas une seconde que vos sentiment sont véritable, mais Louis votre rang ne vous permet pas de papilloner avec Mlle Mancini.Notre Mère et Mazarin ne le permettrons pas, et je suis sur qu'ils vous destine à un autre dessein que celui d'épouser Marie.Sachez Louis que je ne dit pas cela pour vous faire du mal mais pour vous protèger, je ne me permettrait pas de blesser le plus grand Roi D'Europe

Monsieur regarda Louis avec un regard plein de fraterniter, et il lui sourit, ce sourire voulait tout dire.Puis Monsieur repensa à lui et sa belle dulcinée.Et c'est pourquoi Monsieur aborda le sujet.

-Louis sachez que moi aussi je connais en ce moment l'amour d'une femme, je sais cela est surprenant venant de moi et de mes préférances pour les hommes, mais je désire plus tard des héritiers

Monsieur regarda son frère dans l'attente de sa réaction et d'une réponse, le souffle de Philippe se précipita alors car la réponse de son frère ainé lui tenait vraiment à coeur.

Le plus grand Roi d'Europe... Philippe n'avait-il donc pas compris qu'a cet instant son frère n'était plus Roi de France mais simplement Louis ? Ce garçon avec qui il aimait tant jouer étant enfant ? Pourquoi ne comprenait-il pas cela ? Il était pourtant si simple de le faire avec un peu de bonne volonté... Si Louis y était parvenue, il est certain que Monsieur en pouvait faire autant ! Alors pourquoi se borner à lui répondre en Monsieur quand il serait plus simple pour tous deux de lui répondre en Philippe ??
Malgrè l'amour qu'il tentait de faire passer dans sa réponse, Louis ne pouvait faire abstraction de toute la crainte que ce lourd secret venait de poser sur le coeur d'un homme qui, bien qu'ayant les moeurs léger, n'en était pas moins capable d'éprouver des sentiments. Lorsque la réponse fut finie, Louis baissa les yeux à terre et répondit de cette voix calme qu'on lui connaissait

- Je dois vous avouer que ce n'est pas là la réponse que j'ausais espérer de votre part...

Cepedant, lorsqu'il se rendit compte que son frère avait mener la régente ainsi que le cardinal, que l'on soupçonnait d'avoir épouser Anne d'Autriche en secret, Louis ne put se retenir de fixer ses yeux dans ceux de son frère. Jamais, au grand jamais il ne laisserait quiconque se mettre en travers de sa destinée et surtout de ses sentiments envers la belle et si douce Marie...
Personne, pas même sa propre mère et son parrain auxquels il vouait pourtant, un amour incomensurable

- Monsieur, dois-je vous rappeller a quel point l'amour peut conduire à faire des choses dont on ne se saurais jamais cru capable ? Il me semble pourtant qu'il y a encore de cela quelques semaines, votre commerce avec un jeune Duc vous poussa à des acts que jamais nous n'aurions dit qu'ils venaient de vous si vous ne l'aviez pas confessé ?

Et en effet, voilà de cella quelques semaines maintenant, notre chère Monsieur c'était épris d'un jeune homme au point de commettre des actes si choquant que je n'oserais pas vous en faire part ici... Maintenant que les deux frères se regardaient dans le blancs des yeux, non comme deux ennemies, mais plutôt comme deux hommes cherchant à échapper à leurs destins, peut être Monsieur comprendrait-il mieux ce que son frère ainé pouvait ressentir... Ce n'est qu'en voyant le sourire rassurant que lui envoya son frère que Louis comprit qu'il n'était pas là pour l'empêcher de vivre cet amour, mais juste pour le mettre en garde de fait qu'il ne connaissait déjà que trop bien.

- M'aiderez vous à vivre cet amour mon frère ? Vous êtez la seule personne au sein de notre famille à pouvoir m'aider et surtout me comprendre...

C'est fou comme parler avec quelqu'un à qui l'on tien beaucoup peut nous aider à recouvrer la confiance perdue à cause de trop d'incertitudes. Aussi, tout en se levant de l'endroit où il s'était précedement assis, Louis c'était mis en tête que son frère ne le trahirait jamais, après tout, les liens du sang ne sont-ils pas plus fort que tout ? C'est donc le coeur un brin plus léger qu'il continua à s'adresser à son frère sur un ton fraternel mais pas moins souverain pour autant.

- Aussi, je vous serais grès de faire preuve de tout le respect qu'il se doit à l'égard de Melle Mancini. Dorénavant, vous ne la verez plus comme une simple courtisane, mais comma la maîtresse de Château...

Cette idée de mariage faisait tout doucement son chemin dans l'esprit de notre Roi. Oh bien sur il n'en avait pas encore parlé avec l'heureuse élue, mais comment pourrait-elle refuser de devenir maitresse d'un coeur lui appartenant déjà tout entier ? Hélas, demander à son frère de traiter l'élue de son coeur comme il sied à une Reine ne suffit pas à la faire accepter de la Cour et c'est sans doute là qu'était tout le problème, enfin bon, nous n'en sommes pas encore là...
Pour le moment il est question des amours de Monsieur pour une.... Attendez, aurais-je mal compris ? Monsieur serait-il en train d'avouer quelque commerces avec une femme ? Et bien, cette journée était partie pour être riche en surprise !! Alors qu'il c'était mit à marcher dans son antichambre, Louis se tourna vers son frère.

- Mon frère, je suis bien aise d'apprendre cela. Seriez vous enfin devenue raisonable ? Mais dites m'en plus, qui est cette jeune demoiselle ? Ais-je déjà fait sa connaissance ?

Comme il pouvait être doux de goûter les amours des autres... Ainsi, plutôt que de ce soucier du sien, Louis c'était pris à tout vouloir savoir sur cette passion si nouvelle qu'entretenait son frère avec une jeune femme dont il ne tarderait surement pas à apprendre le nom et la naissance...
C'est donc le regard plein de malice qu'il rejoignit une fois de plus son frère qui lui, était toujours assis sur le même fauteuil.

Hs : Moi inspirée ? Non pas du tout ! A toi de me pondre une superbe reponse maintenant ok ?

Invité

Monsieur était toujours le Féfé comme l'appelait Louis enfant, ils étaient toujours très liés, mais une chose importante les séparait, Louis était Roi,Monsieur était rien... Depuis leurs plus tendre leurs Mère, Mazarin, gouvernante...tout ce petit Monde l'ont fait comprendre à Philippe à chaque instand ils lui ont fait ressentir le fossé qui les séparaient.
Biensur Monsieur comprenait tout à fait son ainé dans ce qu'il ressentait, mais il était envoyé par Anne D'Autriche pour lui faire la moral et le mettre en garde qu'un mariage entre Louis et Mlle Mancini ne serait pas accepter, seul le titre de favorite lui saurait admis. Mosnieur dévisagea son frère ainé.

-Louis vous savez que je vous comprend, mais sachez je suis là aussi de la part de Mère qui ma mander de vous faire bien comprendre que Marie Mancini ne doit avoir en auccun cas l'espérance de devenir Reine de France, seul le Titre de Favorite peut lui être accorder...

Monsieur dépita sa réponse, les larmes aux yeux, malgrés la haute importance qu'il a lui même pour les rangs, cela lui brisai le coeur de briser un tel amour entre son frère tant aimé et la belle demoiselle qui lui a fait merveilleuse impression pour le seul et unique rencontre..Il implora donc son frère du regard de lui pardonné ce qui était pour lui une tâche de bourreau mais pas sans coeur...Puis il reprit sur la note qui le concernait et qui était elle fort joyeuse et si nouvelle encore pour Monsieur.

-Et bien oui Louis cette demoiselle se prénomme Adélaiïde de Rosille, elle est belle et fraiche comme le lever du soleil dans un printemps nouveaux, les sentiments que j'éprouve sont encore si nouveau pour moi et tellement surprenant que la chose me paraît encore invraisemblable.... Alors Louis la connaisez vous donc?

Il attendit patiement la réponse de Louis Dieudonné, Monsieur lui était sur un nuage mélancolique car encore troublé pour le message qu'il a passé de la part de sa Mère ...Monsieur s'en voulait de l'avoir fait mais la douce pensée de sa bien aimée lui arracha un sourire...puis il reprit:

-En tout cas votre Féfé va tout faire pour vous aidez à vivre votre amour avec Mlle Mancini, je vais essayer de reparler à Mère mais je ne vous promet pas des résultat positif, vous devriez de votre côter allez aussi lui parler

Monsieur sourit à son frère.

Le Monarque n'en crut pas ses oreilles, ainsi, son frère qu'il pensait être là pour l'aider dans son amour était en réalité venue lui annoncer qu'il était contre ce dernier, mais qui plus est il venait d'avouer être là sur ordre de leur mère la Reine Anne d'Autriche ! Il est vrai que depuis leur plus tendre enfance, qui ne fut pas si tendre que cela, toute la Cour s'était évertuée à creuser un foçé que dis je, une crevasse entre les deux frères. Tout avait été fait pour faire comprendre à Philippe que jamais il ne serait Roi. Bien que regrettant cela, Louis n'y était pour rien et aujourd'hui, il avait l'impression que son frère cherchait à lui faire payer cela.

- Comment pourrais-je croire que vous me comprenez alors que vous venez d'avouer être là sur ordre de Mère. Cette Mère qui est la plus apte à ne pas comprendre ce qui m'arrive... Le titre de favorite ? Pour posséder ce titre encore faudrait-il que Marie accepte de devenir favorite mon frère. Nous aspirons à tout autre chose voyez vous...

Louis venait d'avouer par là que la jeune femme se refusait à lui depuis plus d'un an. Je suis tout de même forcée de dire que, bien qu'étant Roi, ,Louis n'en était pas moins un homme et, comme tout homme qui se respecte, il avait des besoins. Besoins qu'il tentait, tant bien que mal de contenir depuis le début de leur relation. Le regard implorant de Monsieur ne changea rien à la deception du Monarque, il avait l'étrange impression que son frère venait de le trahir...
Cependant, dés qu'il aborda le sujet de ses commerces à lui, le visage de Monsieur s'éclaira, quoi de plus normal aprés tout ! Ce sentiment devait être bien nouveau dans le coeur de ce frère que Louis aimait malgrès tout. Ainsi, la demoiselle en question n'était autre qu'Adelaïde... Cela fit sourir Louis.

- Effectivement mon frère, je connais cette charmante demoiselle.

Monsieur ne put s'empêcher de revenir au sujet des commerces de Louis. Ce dernier lui conseilla de parler à sa mère, comment faire pensa le monarque, comment parler à un femme comme mère ? Tout ce qui n'a jamais compté pour elle c'est la France. Ne lui a t-elle jamais dit,la veille du jour de son sacre, que demain il sera tout entier à la France ?

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