se promène

Invité

Adélaïde se promenait dans ce fameux parc qui était celui de Versailles sans un véritable but précis et de toute façon elle n'en avait vraiment pas besoin.
On aurait pu dire en fait qu'elle flanait. Touchait de-ci de-là une rose ou toute autre fleur du doigt, soupirant. Ce parc lui avait térriblement manquer tout ce temps où elle fut malade.
Elle vit un jardinier, plus loin, coupé une belle rose et la mettre dans son pagnier. Elle s'approcha de lui.

-Bonjour, pour qui sont ces roses merveilles?

Le jardinier lui répondit qu'elles serviraient à décorer les chambres des courtisans.

-Pourriez-vous s'il vous plait m'en donner une.

Le jardinier accepta gentilment et lui tendit une belle rose bien rouge après avoir coupé les épines. Elle le remercia et continua sa route respirant parfois la douce odeur de la fleur.

Philippe qui avait envie de changer d'air était sorti.

Il allait chercher des fleurs à offrir à Carmen.

A umilieu des allées, il vit une rose différente des autres et nettement plus belle. Il s'avança vers la jeune fille et s'adressa à elle.

"Bonjour. Charmantes ces fleurs! Je n'ai pas eu le plaisir de vous rencontrer. Puis-je savoir de cette jolie fleur?"

Invité

Adélaïde s'arrêta net. Elle coyait être seule. Enfin à cette heure si, elle aurait du mais qu'importe.
Elle se retourna souriante, le teint pourtant encore un peu plus blanc à cause de sa sortie de maladie, et fit une révérence.

-Bonjour et merci. Je vous avoue que je les trouve vraiment très belles et leur parfum est exqui.

Elle toucha délicatement du doigt la rose et sourit puis releva la tête vers son interlocuteur. Non franchement, elle n'était pas doué pour se faire des contacts.

-Je suis Adélaïde de Rosille et vous Mr, qui êtes vous? Si ej ne vous suis pas trop indiscrête.

Philippe, en grand charmeur, lui sourit également. Il ne regardait plus les fleurs mais la jolie demoiselle.

"Mademoiselle, si vous êtes indiscrète en me posant la question, je l'ai tout autant en vous la posant. Je suis Philippe d'Orléans. Puis-je savoir où vous résidez actuellement mademoiselle?"

Philippe avait envie de connaitre cette jeune femme qui semblait timide et qui avait la beau d'une blancheur plus profonde que celle des femme de la Cour dix fois trop parées et apprétées.

Invité

Philippe d'Orléans, faisons le lien: Louis XIV. Ce jeune homme à peine plus âgée qu'elle devait donc être en, face du frère du roi. Il n'était pas du tout comme elle l'immaginait. Elle avait entendu beaucoup de chose sur lui, comme quoi il s'habillait comme une femme et toute sortes d'autres choses. Mais pourtant l'homme qui se tenait en face d'elle et qui lui souriant n'était pas celui dont tout le monde parlait.

-Vous n'avez pas du tout été indiscret Mr, vous étiez d'ailleurs en droit de savoir.

Il avait tout de même le don de poser des questions assez étranges. Où logait-elle et bien cela devait être logique. Quoi qu'en y réfléchissant en fait non, il avait peut-être eu raison de demandé. Tous les courtisans de logeaient pas ici, il n'y y aurait pas assez de place.

-Je loge dans un des appartements dédié aux courtisans Mr.

Au fait pourquoi était-il là? Tous les courtisans et personnes importantes étaient aux chateau, à une des nombreuses cérémonies de l'étiquette.

-Mr, je pensais être la seule à sortir par une heure si matinale. Que venez vous faire dans ces beaux jardins?

*Tu est vraiment sotte ma fille. Ce sont ces jardins il y vient quand bon lui semble!* pensa-t-elle

Philippe eut le regard assombrit.

"Eh bien mademoiselle, tous se sont réunit pour le lever du roi. Il est vrai que je me devais d'y être mais je voulais profiter du jardin lorsqu'il n'y a personne. J'avoue que je ne m'attendais pas à vous rencontrer ici. Vous êtes charmante et si vous acceptez, nous retournerons pour le petit-déjeuner du roi. Nous ferons plus ample connaissance."

Invité

(Hj: désoler d'avoir été si longue à répondre. En plus c'est pas super super XD)

Le lever du roi. Cela ne la tentait pas trop de devoir si rendre bien qu'elle aimait beaucoup le jeune souverain.
Elle sourit tout de même. Après tout, là-bas elle pourrait faire plus emple connaissance avec Philippe.

-Dans ce cas Mr, je vous suis et j'espère que notre conversation durera longtemps. Je veux tout savoir de vous!

Elle lui prit gentilment le bras et se retourna vers le chateau, sa rose toujours en main.

Pedant qu'il marchèrent, Philippe voulu proposer à la jeune fille de venir au bal.

"Depuis combien de temps êtes vous à la Cour? Je vous demande cela car j'aimerais savoir si vous désirez venir à un bal de Cou si vous n'y avez pas encore participer, bien sûr."

Invité

Un bal, c'était assez intéressant. Elle n'avait encore jamais participé à un bal de Versailles et cela lui ferait sûrement du bien.
-Cela fait à peu près un an que je vis ici mais j'ai du tenir le lit penddant quelques mois. Cela en tout cas me ferait vraiment plaisir de venir à ce bal et je suis sur que c'est vous qui l'avez organisé. On dit à la Cours que vous êtes très doué pour cela.

Elle lui sourit. Cet homme était vraimen charmant. A peine la connaissait-il qu'il l'invitait à un bal de la Cours.

Philippe rougit, il ne voulait pas se vanter.

"Eh bien c'est en effet moi qui l'organise, je ne sais pas si je suis doué pour cela mais c'est ma passion. Vous avez bien passion Adélaïde?"

Philippe s'intéressait beaucoup à la jeune fille.

Invité

Adélaïde rit doucement lorsqu'il rougit. On aurait dit un enfant prit en faute.

-Mais ne rougissez pas ainsi voyons!

Une passion... oui Adélaïde en avait plusieurs mais ce qu'elle préférait par dessus tout c'était la lecture, un bon livre au coin du feu, et la musique. Elle aimait chanter et jouer pour son plaisir, pour se détendre.

-Oui. J'aime beaucoup la lecture et la musique. Je chante et joue de la flûte traversière. J'affectionne aussi la danse.
Et vous Mr avez-vous une autre passion que celle-ci?

Ce jeune homme était vraiment intéréssant. Il était vrai qu'il avait de la conversation aussi.

Philippe avait beaucoup de passions et n'aurait pu faire une liste concrète.

"Pour faire bref, j'aime la fête, les jeux et changer la monotonie des gens de Cour. Ce soir c'est un bal maqsué. Venez donc, je vous en pris, je vous ferais valser!!!"

Philippe lui fit un clin d'oeil et se souvint qu'il devait se préparer pour le bal et donner des ordres en cuisines.

"Je dois vous laissez à mon grand regret. Je vous dis à cesoir, douce fleur!!!"

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