Representation...

Certaines de ses paroles avaient comme un effet appaisant sur la jeune femme, mais celles qu'il prononcèrent concernant le duc n'eurent pas cet effet là, bien au contraire. Elles ne firent qu'apeurer un peu plus la demoiselle. Comment feindre ne pas comprendre ce que Marie ressentait alors que lui même serait en proie à un mariage arangé avec une certaine Marie-Thérese... Mais qu'importe, il ne pouvait y penser et gacher l'instant présent. Au contraire, il se devait d'en profiter, d'en savourer chaque instant...
Marie lui demanda alors s'ils leurs étaient possible d'allé voir ce couple, sans doute voulait-elle parler avec son amie pour lui demander de ses nouvelles. Malheureusement, je craint qu'il ne leurs soit pas possible. En effet, une femme ne quittait l'homme qu'elle accompagnait que s'il le lui demandait, Louis aurait bien fait cela pour elle, mais jamais Maximilien n'aurait consentis à laisser sa future épouse partir seule avec une femme qu'il ne connait pas.

- Bien sur.

C'est alors qu'ils commençèrent à marcher en direction du couple. Ce dernier se trouvait encore au pied du grand escalier. Tout en marchant Louis adressa quelques leger signe de tête à des personnes de l'assemblé qu'il avait le plaisir, ou non, de connaître. Bien sur, voir le roi passer devant soi n'était pas quelque chose d'habituel alors, les femmes les regardaient, enviant cette jeune blonde au bras du plus grand monarque.
Enfin ils arrivèrent à l'endroit voulu. Marie fut la première à parler

- Joséphine, mon amie, cela fait longtemps que nous nous sommes pas vu !

Suite à cela, Louis prit délicatement la main de la Marquise de Romans et y déposa fit un baise main, qui, comme tout baise main, ne toucha pas la peau de la demoiselle. Il lui dit alors[/b]

- Melle de Romans, je suis très heureux de vous revoir.

[i]Puis se redressant, il s'adresse au Duc de manière bien plus formelle

- Mr de Rochester, laissez moi vous présenter la charmante personne qui m'accompagne...

Tournant la tête vers Marie, il dit avec un sourir emplie d'amour. La main de cette dernière n'étant plus posé sur le bras du Monarque, se dernier en avait profiter pour poser sa main droite à lui sur la hanche gauche de Marie le temps des présentations

- Melle Marie Mancini...

Alors que le Duc de Dorchester n'avait toujours pas répondu à la question que lui avait posé Joséphine, celle ci fut agréablement surprise de voir son amie Marie Mancini et le Roi Louis XIV venir dans leur direction. Si cela était une idée de Marie Joséphine la benissait deja... Enfin un peu de compagnie autre que celle de son futur époux...
Un sourire enjoué vint à ses lèvres lorsque son amie lui parla... Meme si cela ne faisait pas si longtempsque cela qu'elles ne s'étaient vu, Joséphine était la plus heureuse à ce moment meme...

"-Marie, comme je suis heureuse de vous voir..."

Mais ce fut le baise main et les paroles du Roi qui la touchèrent le plus. Par ce baise main il s'inclinait un peu devant elle, chose qu'il n'aurai pas du faire, et lorsqu'elle appliqua sa reverence elle fut comblé de constaté qu'il n'avait pas oublié leur rencontre dans la bibliotheque royale. Là ou ils avaient conversé d'art et de peinture... Chose qu'elle ne pourrait surment jamais faire avec son mari.

"-je suis honnoré que votre majesté se souvienne de moi..."

Il était vrai qu'elle avait douté un moment que le Roi accode lamoindre importance à leur rencontre bien qu'il lui est semblé etre un homme simple et aimant de la vie en réalité. Ce fut donc un sourire radieux qu'elle avait dit cette phrase.
Son mari la tenant toujours par le bras, elle ne pouvait pas se détacher de lui pour parler avec Marie, ni meme pour scruter encore une fois la foule dans l'espoir de voir apparaitre le doux visage du Duc de la Richardière...

Que Louis connaisse Joéphine surprit quelque peu Marie qui n'en n'avait jamais eu vent, mais elle n'allait pas leur en vouloir pour cela. Ce qui confirmait bien qu'elle et Joséphine ne passait pas assez de temps ensemble pour pouvoir tout se raconter. Mais cela soulagea aussi Marie car elle ne serait pas seule face au Duc de Rochester. Car si Louis avait été un parfait inconnu pour les deux jeunes gens en face de lui peut-être aurait-il préféré ne rien dire et la laisser parler.

Après s'être fait présentée par Louis au Duc de rochester elle ne pouvait cependant plus l'éviter, mais même sans le regarder elle sentait son regard persant et cela la dérangeait. Prenant son courage à deux mains, elle leva les yeux vers celui-ci et répondit pour continuer comme il se devait les présentations

"Je suis heureuse de faire votre connaissance Monsieur le Duc"

Si seulement quelque chose, un miracle, pouvait permettre aux deux jeunes filles de s'entretenir en privée. Marie voulait demandé à Joséphine si elle avait aperçut Simon, si elle avait eu de ses nouvelles ... A vrai dire elle se sentait même prête, avant le début du spectacle à jouer la messagère entre elle et Simon pour leur permettre même indirectement de ce soutenir.

Un autre sujet devait être abordée, même si il était facheux aux yeux de Marie, mais elle ne savait si Joséphine oserait lui demander. Marie voulait être présente le jour de l'union entre Joséphine et le Duc, pas que cela soit un jour apprécié et attendu, non mais elle voulait être la pour soutenir son amie. La voix quelque peu hésitante elle osa demander:

"Puis-je savoir quelle sera la date de votre Union devant Dieu ?"

Puis après un regard quelque peu méfiant à l'égard du Duc, elle ajouta regardant avec force Joséphine:

"Si bien sur il met permi d'y assister ?"

Timide à la Cour Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 09/04/2007

Lorsque le Roi vint à la rencontre du couple bientôt uni, Maximilien fut des plus surpris, comment cela ce faisait donc que le Roi accordait la moindre importance à sa personne ?
Lorsque le Monarque fut devant lui le Duc s’inclina des plus bas qu’il le put, cela était un véritable honneur que de voir sa majesté en personne devant soit.
Il s’inclina comme il se le devait devant Marie Mancini lorsque Louis la lui présenta et fut agréablement étonné de comprendre que sa future épouse connaissait déjà le Roi, puisque celui-ci employa les mots « vous revoir »… Mais quand c’était ils rencontrer ? Mais cette question importait peu pour le moment.
Joséphine connaissait également la compagne du Roi, décidément Maximilien ne soupçonnait pas de telle relation de la par de sa future femme…
Il dit alors tenait toujours Joséphine par le bras, comme pour appuyer sur leur union prochaine :

« -Sa majesté ne se doute pas de l’honneur qu’elle nous fait à ma dame et à moi-même en venant ainsi à nous. »

Il reprit en regardant cette fois ci la nièce du Cardinal :

« -je suis également enchanté de faire votre connaissance Mademoiselle… »

Alors que les regards de Marie se faisaient insistant sur Joséphine, Maximilien délia son bras et laissa ainsi la liberté désiré de sa femme revenir à elle.

« -Je vous en pris mes dames allez donc parler là ou bon vous semble… »

Pour une fois que le Duc était en présence du Roi, il tenait à avoir toute l’attention de sa Majesté, et il ne souhaitait pas que sa dame prenne tout la place sur le devant de la scène… Son regard suivit tout de même un court moment les deux demoiselles qui s’éloignaient d’eux… Alors comme cela Joséphine avait parlé à sa chère amie Marie Mancini du mariage qui aurait lieu entre elle-même et le Duc… Celui-ci en fut surpris de nouveau et se questionna sur ce qu’elle avait bien put dire…
Au fond, le Duc savait qu’il n’avait pas fait de mauvais choix lorsqu’il avait posé pour la première fois ses yeux sur la douce Joséphine de Romans il y a de cela deux ans déjà…

Joséphine allait répondre à son amie avec tact et respect envers son futur mari, mais ce fut à ce moment là que le Duc de Dorchester lâcha le bras de Joséphine la laissant aller ou bon lui semblait… Elle savait que ce geste n’était pas fait par hasard rien n’était hasard dans ce monde… Elle soupçonna son futur époux de vouloir s’entretenir en privé avec le Roi… Même elle trouvait cela vil, elle était bien heureuse de pouvoir s’éclipser quelques instants pour parler en privé avec Marie…
Alors que la foule s’écartait pour laisser passer les deux jeunes femmes, Joséphine eut soudain l’envie d’être en paix pour parler avec son amie… Elle voulu alors se diriger vers les coulisses du théâtre, elles pourraient ainsi parler comme elles le voudraient… Laissant libre cour à leurs cœurs et leurs âmes…
Une fois à l’abri des regards, Joséphine pris les mains blanches de Marie dans les siennes et elle lui dit la voix briser par un sanglot de joie :

« -je ne vous serait jamais assez reconnaissante de vous être présenté ainsi devant nous… Jamais je n’aurai cru se miracle possible… Oh Marie mais que ferais-je sans vous… »

Joséphine se sentait respirer plus librement, elle était loin de Maximilien de Dorchester, et son cœur reprenait un rythme normal, ses joues un rose clair et ses lèvres un sourire radieux… Elle n’aurait pu supporter de passer la soirée entière aux bras de cet homme qui serait bientôt dans son lit… Rien qu’à pensé à cela la nausée lui venait…

« -pour répondre à vos questions, la mariage sera célébré durant la semaine prochaine, à la Cathédral Notre Dame… Et je serai plus qu’heureuse que vous veniez assister à ceci… Il y aura au moins quelqu’un dans l’assistance qui comprendra ma peine et qui me soutiendra de tout son être… »

Elle souhaitait de tout son cœur que la jeune femme vienne assister à son union avec la Duc de Dorchester, pour ne pas se sentir seule dans l’immense cathédral… Peut être que Simon viendrai lui aussi, et dans les rêves les plus fou de la demoiselle, il venait s’opposer à l’union devant Dieu, et l’emmenait loin d’ici… Dans un lieu où ils pourraient vivre leur amour sans se cacher… D’ailleurs elle n’avait toujours pas aperçu le jeune homme de la soirée et elle commençait à douté de sa présence ce soir…

Aprés avoir présenté Marie au jeune futur ( XD ) couple, Louis fit le duc de Rochester s'incliner devant lui aussi bas qu'il le pouvait. Bien que n'aimant pas vraiment ce genre de courbettes, Louis se devait de respecter le protocole et donc de laisser le Duc faire ce qu'il devait faire. Cependant, il fut ravie de le voir également s'incliner devant la belle Marie, cette dernière ne devait pas être habituée à tant de considération... Mais que voulez vous, c'est cela lorsqu'on se baladait sous le regard de tous et surtout de toutes, au bras du plus grand Monarque d'Europe. Louis était fièr de voir que la Cour traité sa belle comme elle méritait de l'être, en première favorite... Désormais, Marie pouvait se balader n'importe où, demander tout ce qu'elle voulait, tout lui serait accordé sans contraire... Lorsque l'on a les faveurs et qui plus est, l'amour d'un roi comme Louis XIV, on la France à nos pieds...

Comment ne pas remarquer l'étonnement sur le visage de Maximilien ? Lui qui d'ordinaire ne laissais rien paraître, venait de laisser un sentiment gagner son visage... Comme quoi, tout n'est pas impossible dans la vie ! Peut être, je dis bien peut être, qu'avec un peu de temps et beaucoup de patience, cette belle jeune femme qu'est la Marquise de Romans, arrivera à faire en sorte que Maximilien, Duc de Rochester, recouvre le sourir, tel un aveugle recouvre la vue miraculeusement après des années passées dans le noir le plus complé.
Cet homme semblait plutôt fière de sa compagne à en juger par la préscence qu'il exerçait sur le bras de cette dernière...Jamais Louis n'aurait ainsi agit avec Marie, elle n'était pas à lui, il ne la possédait pas ! Il n'avait donc aucun droit d'apposer sur son bras, une main de telle celle de Maximilien sur le bras de Joséphine... Malgré cette différence de point de vue, Louis se devait, en bon souverain qu'il était, de répondre poliment et si possible avec le sourrir à cet homme qui semblait être son opposé....

C'est ainsi que d'un signe de tête il exprima sa gratitude envers cet homme qui venait de le complimenter. Puis, alors qu'il ne s'attendais pas à pareil action, le Duc délia son bras de celui de sa futur épouse ! C'était un peu comme s'il lui redonner la liberté volée l'espace d'un instant. Joséphine devait sans aucun doute se sentir soulagé de n'avoir plus pareil pression sur son bras et peut être même sur son coeur... Avant de laisser partir sa belle, Louis lui offrit un regard et un sourir. Une fois de plus il ne voulait que lui communiquer tout son amour par ce simple présent... A propos de présent, Marie avait-elle autour de son coup le si magnifique que discret petit présent qu'il lui avait offert voilà de cela quelques jour ?

Maintenant que les deux jeunes femmes étaient parties, Louis se devait d'occuper le Duc, de lui faire la conversation... C'est alors qu'il se rendit compte qui ne savait trop quoi dire à cet homme dont il ignorait tout et qui était si différent de lui... Peut être valait-il mieux converser sur une chose futile pour commençer...

- Ce début de soirée vous plait-elle Mr le Duc ?

Comment faire pour ne pas se sentir idiot lorsque l'on débite pareil futilité et que l'on porte un nom comme le sien ? Après tout, il était un Bourbon, il se devait de ne pas décevoir sa famille, en particulier Mme sa mère et le Cardinal, ils avaient tout deux tant fait pour lui...
Et voilà qu'il se prennait à penser qu'il aurait surement était beucoup plus à son aise s'il était parti converser avec Joséphine et Marie... Voyons Louis, tu es un homme ! Tu dois donc converser avec des hommes !! Comme il est pathétique de ce dire pareil chose lorsque l'on est aussi convaincu de ce que l'on dit qu'on sait qu'une poule ne vole pas et ne volera jamais....

Marie n'en crut pas ses yeux lorsqu'elle vit la main du Duc de Rochester se défaire du bras de Joséphine et lorsqu'il leur proposa par la suite d'aller converser la où elle le souhaitait. A vrai dire c'était l'occasion rêvée par Marie qui avait eu peur de ne jamais la voir venir. Elle se laissa donc entrainer par Joséphine à travers la foule, toujours plus abondante de l'Opéra. Aparemment celle ci devait chercher un endroit calme où de mauvaises oreilles ne pourraient pas les entendre pour rapporter leurs propos à son mari.

Joséphine la conduisit à l'abri des regards, dans un endroit un peu plus sombre. Ici elles ne seraient pas dérangés. Mais c'est ici que Joséphine laissa la vrai personne qu'elle était ressortir, sa voix laissait entendre, tout comme ses propos, qu'elle était contente de la voir.

"Je ne point si je mérite d'être comparée à un miracle Joséphine ! Mais moi aussi je suis heureuse de vous revoir !"

Elle avait dit cela en souriant, essayant de réconforter du mieux qu'elle le pouvait son amie. Après tout, pour elle la soirée ne serait pas des plus agréable et Marie espérait que par cette petite entrevue Joséphine pourrait retrouver un véritable sourire.

Apparament les rumeurs de la cours avaient pour une fois été vrai. Joséphine allait bien épouser le Duc de Rochester et très bientôt. La date du mariage étant déja fixé il n'y avait présent plus rien qui pourrait l'empêcher à moins d'un grand malheur ce qu'elle ne souhaitait absolument pas. Les jours prochains risquaient d'être sombre alors autant ne pas souhaiter pire.

"Bien que j'aurais souhaité que cela se fasse pour une autre occasion que l'officialisation de votre union"

Marie avait volontairement omis de prononcer le nom de son futur époux. Après tout elle n'avait pas fait tout ce chemin pour parler de cela.

La jeune femme, après avoir vu Joséphine en haut des marches avec son futur époux, avait cherché vainement dans la salle Simon. Elle ne l'avait pas trouvé, mais elle avait eu un pincement au coeur en imaginant son visage, déconfit, voyant Joséphine et le Duc. Joséphine l'avait-elle vu elle ?
Marie avait vraiment de la peine pour elle. Et elle se surprenait souvent à avoir un sentiment de culpabilité en sa présence car elle vivait le parfait amour avec celui qu'ELLE avait choisit ce qui n'était pas le cas de son amie.

"Bien sur que je serais la. Il m'en couterait de vous laisser seule affronter ce que vous redouter tant ..."

Une lueur passa dans les yeux de Marie qui laissa alors sa phrase en suspens. Elle viendrait bien évidement aux noces de Joséphine, mais une fois à Notre-Dame elle n'aurait pas l'occasion de pouvoir lui parler, de lui faire réellement sentir son soutient. Mais peut-être qu'elle pouvait venir voir Joséphine dès le matin, dans son domaine et l'aider à se préparer. Ainsi elle passerait la matinée ensemble et Marie pourrait ainsi réellement soutenir Joséphine. Mais oserait-elle demander ? Ses mains étaient toujours dans celle de Joséphine, qui devait d'ailleurs se demander pourquoi elle avait cet air absent. Relevant les yeux, d'un air déterminé ...

"Joséphine ... que diriez vous si je venais vous rejoindre le matin chez vous pour rester avec vous lorsque vous serez préparée ?

Marie proposait en quelque sorte à Joséphine de l'accompagner à l'abattoir, mais au moins elle n'y irait plus seule.

La futur Duchesse de Dorchester fut des plus touchée par l'intention si particulière que lui portait Marie, elle était vraiment une amie unique et precieuse...
Un sourire heureux vint se poser sur les lèvres de Joséphine, et elle répondit à la jeune femme qu'elle affectionnait tant:

"-Je serai plus que ravie que vous veniez assister à mon mariage, et je le serai encore plus si comme vous me le proposez vous viendriez passer du temps avec moi avant l'heure de la cerémonie... J'aurai aussi eut une autre faveur à vous demander Marie..."

Joséphine se tue, elle ne sevait pas si elle devait se permettre ce qu'elle souhaitait demander à son amie. Non pas par ce qu'elle craigne qu'elle n'accepte pas, mais elle frissonnait à l'idée que cela deplaise à son futur epoux...
Elle repris sa respiration et dit tout de meme à la bien aimée du Roi:

"-j'aurai aimée savoir si vous accepteriez d'etre temoin à mon mariage? Vous pourriez comme cela etre au pres de moi durant cette épreuve que la vie m'impose... Bien sur vous n'etes pas obligé d'accetper... Je comprendrai que cela vous gene et qu'il vous deplaise de m'accodrer cette faveur... "

Joséphine baissa les yeux sur ses mains puis elle releva son visage angelique sur celui encore plus beau de Marie, attendant de savoir sa reponse, des petites étincelles d'espoir dans les yeux...

Timide à la Cour Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 19/02/2007

Par Dieu!! Ou était elle passée? Non comment avait il put détourner ses yeux un seul instant de son aimée!!
Simon la croyait encore au bras de son futur époux, mais lorsqu'il reporta son attention sur le couple, il ne la vit plus!
Seul restait le Duc et le Roi... Marie? Elles devaient etre partie ensemble pour converser!

"-Simon!! Que fais tu donc encore ici?"

L'un de ses amis le pris par les épaules et lui dit d'une voix plus basse:

"-mais que fais tu donc, elle vient de s'éclipser avec la compagne du Roi... Va donc, je croyais que tu connaissais la demoiselle? Va vite, c'est surement ta seule chance de la voir ce soir!! "

Simon eut alors un sourire de splus raideux à l'adresse de son ami que ferait il sans lui! Il lui souffla un merci et se dirigea d'un pas plus que pressé vers l'endroit que lui avait indiqué son accolite...
La voir enfin! La toucher, sentir son parfum si ennivrant...

Lorsque le jeune Duc arriva non loin des deux jeunes femmes, celle ci étaient en train de parler du mariage de Joséphine, mais le voix de la jeune femme paraissait ibne assez enjoié... Etait elle heureuse de s'unir à cet homme?
Il ne voulait pas les inteompre, mais un miroir disposé non loin de là, fit apparaitre son visage derrière Joséphine. Seule Marie pouvait donc le voir... Cela pouvait etre un moyen pour connaitre les sentiments de sa douce...
Le regard de Marie venait de rencontrer le sien, et il lui fit un sourire en placant un index sur ses propres lèvres...

hj: Je saiiis j'ai mis très longtemps à vous répondre ! Pardonnez moi les amis. J'espère qu'avec ma réponse j'aurais réussit à me faire pardonner

Marie souriait. Elle souriait simplement, sans aucune arrière pensée, elle souriait parce qu'elle était heureuse. Joséphine était sa meilleure amie et confidente parmis les Dames de la cours et cela lui faisait énormément plaisir de voir les mêmes sentiments chez son amie. Joséphine lui faisait confiance au point de bien vouloir l'inviter à son mariage, de l'autoriser à rester avec elle lorsqu'elle serait préparée pour la cérémonie, et maintenant elle lui demandait même d'être son témoin !
Aussi serra t-elle plus fort les mains de son amie, avant de lui répondre, les larmes presque dans le fond dans ses yeux.

"Bien sur Joséphine ! J'accepte avec joie d'être votre témoin. Je serais la pour vous soutenir en ce jour et cela jusqu'au bout, vous pouvez comptez sur moi !"

Mais alors qu'elle avait relevé les yeux Marie vit, derrière Joséphine, le reflet du visage de Simon dans une glace. Elle lui sourit, et alors qu'elle voulait annoncer la nouvelle à son amie celui-ci lui fit signe de se taire. Pourquoi ? Ca elle n'en savait rien, mais Simon devait avoir ses raisons. Cela lui donna par ailleurs des idées, et toujours avec son habituel sourire elle demanda à Joséphine:

"Avez vous eu l'occasion de revoir Notre cher Duc de la Richardière depuis notre dernière entrevue ?"

Sa voix c'était fait plus discrète, pour justement éviter les oreilles qui auraient pu trainer dans un coin, mais elle c'était fait en même temps beaucoup plus malicieuse. De cette malice de petite enfant espiègle.
En réalité Marie voulait entendre de la bouche de Joséphine qu'elle n'avait pas renoncé à Simon, que malgré son détestable mariage elle ne renoncerait pas à cet amour. Et elle espérait que par la même occasion, Simon qui était toujours caché entendrait ces mots d'amours dans la bouche de sa bien-aimé

Simon... Comme ce nom était doux aux oreilles de la Marquise... Elle mourrait interieurement de le revoir... Son ame toute entiere était posédée par cet homme au sourire charmeur et au coeur si pur...
Joséphine, les mains toujours jointes à celle de Marie, lui confiat alors en fermantles yeux sous les mots qu'elle allait prononcé, comme pour une unique prière ou un voeux souhaitant qu'il se réalise enfin:

"-non, je ne l'ai pas revue, mais si vous saviez comme je me meurs de le savoir loin de moi... Tout en lui ma manque attrocement... J'avais pour espoir de le voir ce soir, mais je n'ai pas encore appercu son doux visage..."

Rouvrant les yeux elle dit de nouveau avec un peu de crainte dans la voix:

-"parfois j'ai peur qu'il ne m'est deja oubliez... Il est si bel homme, je suppose bien que plus d'une femme se languit de lui... J'ai meme des fois des envie de me modire de m'etre éprise de lui ainsi... "

Elle ferma de nouveau les yeux et poussa un soupire de lassitude... Elle voulait le voir, et qu'il la rassure, qu'il l'emmene avec lui dans un pays lointain, loin tres loin de l'homme qu'elle devait épouser bientot...

Timide à la Cour Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 19/02/2007

Elle l'aimait, oui, Joséphine, la belle et si douce Joséphine l'aimait lui!!! Si il n'avait pas voulu gacher la surprise, Simon aurait pu crier au monde entier qu'il était l'homme le plus comblé du monde!

Elle venait de confier à Marie qu'elle l'aimait...

Souriant à Marie dans la miroire, Simon lui fit un petit signe lui intimant avec gentillesse une demande. Pouvait elle les laisser quelque instans seul à seul? Simon mourait d'envie de sentir le parfum de la demoiselle ainsi que la douceur de ses lèvres sur les siennes... Si le temps durait ainsi encore longtemps, le Duc de Dorchester se douterait de quelques chose et Simon ne pourrait parler à sa belle.

Marie sourit en entendant son amie parler de Simon, si seulement elle savait qu'il était juste la, caché. En tout cas, il devait avoir entendu ces paroles et cela avait du le rassurer. Bien qu'épousant le Duc de Rochester elle n'avait pas abandonner son réel amour. Tout comme elle ... pour rien au monde elle n'abandonnerait Louis et l'amour qu'elle lui portait. Si jamais elle devait être séparée de lui cela aurait été fait par force et non de son plein gré. A vrai dire elle préférait même mourir que de vivre cette expérience.

"Joséphine ! Je ne veux point entendre un tel discours sortir de votre bouche. Pourquoi voudriez vous que Simon vous laisse pour une autre femme !!"

Surtout que ça n'était absolument pas le cas. D'ailleurs il était la tout près et en relevant la tête elle vit que celui-ci lui faisait signe. Voulait-il être seul avec Joséphine ? Marie le voulait bien, mais elle devrait rester caché près deux, car si le Duc de Dorchester la voyait revenir seule, ou les voyaient revenir dans trop de temps il risquerait de se douter de quelque chose.
Levant les yeux, elle fit un signe de tête imperceptible pour Joséphine mais qui annonçait à Simon qu'elle lui laissait la place.

"Je crois qu'il y a quelqu'un qui désire vous voir ..."

Alors elle lacha les mains de Joséphine, puis avec un sourire discret elle s'éloigna, mais bien qu'elle disparut de la vue de Joséphine elle était toujours la. Elle ne pouvait voir ni être vue. Elle attendrait que les deux amants aient finit de se "parler" pour retourner cherche Joséphine et retourner auprès de leur cavalier respectif

Timide à la Cour Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 19/02/2007

Lorsque Marie parla de lui, Simon se senti rougir quelques peu... Il n'était pas si innocent que ce qu'elle venait de decrire, mais au fond de lui, cette fois il en était sur Joséphine était la femme de sa vie...
Elle n'était pas comme toutes ses autres conquetes... Elle etait si douce, si tendre, si belle, elle avait de l'esprit... c'était tout ce que le jeune homme recherchait, mais il avait fallu que Dieu place entre eux ce maudit Duc de Dorchester...

Voyant Marie lui laisser la place, il s'avança derrière la jeune dame qui lui avait vollé son coeur... Il passa une main sur sa taille, et lui chuchotta à l'oeille avant qu'elle ne se retourne:

"-jamais au grand jamais je ne vous laisserais pour une autre..."

Il se msi face à elle, et lui dit en prenant ses mains dans les siennes, plongeant ses yeux aux fond de ceux de Joséphine:

"-je vous aime Joséphine, n'en douté pas je vous en pris, cela me fend le coeur d'entendre ces mots dans votre bouche... Suis je si intrpide que vous ne façiez aucunement confiance? Ecoutez donc mon coeur vous chanté mon amour... Je vous en pris..."

Simon avait parlé avec son coeur et il voulait que la demoiselle l'entends... Oui, il l'aimait et il était pres à tout pour etre ne serait ce que quelques instant avec elle...

Les mains qui se posèrent sur sa taille la fire sursauter... La demoiselle ne se doutait pas que celui qu'elle aimait l'observait depuis quelques temps, à son insu... Qu'avait il entendu? Que pensait il?

Joséphine se tourna vers lui, et elle pris ses mains dans les siennes, son regard plongé dans celui de Simon elle lui dit avec toute sa tendresse...

"-Simon... Je ne pensais plus vous voir ce soir... Vous ne pouvez pas savoir comme j'ai espéré vous croiser d'un simple regard durant cette soirée et vous etes là... Pardonnez moi pour mes paroles mais je suis comme toute jeune fille de mon age, j'ai des doutes et des incertitudes... "

Elle lui sourit et sans dire un autre mot, elle se blottit dans ses bras... Elle respira son odeur et elle fut enfin bien... Comme si elle venait d'atteindre le paradis...

Enfin il était pres d'elle, il avait tout fait pour etre discret et il l'avait rejoind sans croiser son futur epoux, et sans éveiller le moindre soupson des gens de la cours...

Timide à la Cour Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 19/02/2007

Les mains de Simon se resserènt sur les hanches de Joséphine entrainement la demoiselle plus pres de lui... Leurs visages n'étaient plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre... Les yeux du jeune homme plongèrent dans ceux de la jolie Marquise de Rmoans, son paradis...

"-Joséphine... Partons emsemble, je vous enlève... Nous partirons loin tres loin, là ou personne ne nous dictera notre conduite... Si vous saviez comme je vous aime... Je deviens fou de ne pas pouvoir vous parler, vous toucher... "

Son souffle était court, comme si il avait peur qu'elle s'envole sans lui, qu'elle disparesse dans la nature, sans lui dire le moindre mots...

Il avait envie que ce moment dur toujours que jamais rien ne les sépard... Il repirait son parfum de lis...

Le coeur de Joséphine battait la chamade... Partir avec lui? Elle ne le pouvait, comment viverait il? Et puis elle ne pouvait se permettre de déshonnorer ainsi sa famille qui n'était qu'un marquisa...
La jeune demoiselle pencha la tete de coté avec tendresse, ses yeux plongés dans ceusx de son amour et elle lui murmura comme on le fait pour un enfant plein de rêve...

"-Simon... Reprenez vous voyons... Rien de tout cela n'estpossible..."

Elle passa l'une de ses mains tendre dans la chevelure du jeune homme, et elle lui dit encore avec toute sa tendresse:

"-ne m'en voulez pas... Je vous en supplis... Je suis votre à jamais, mon amour pour vous ne s'éteindra jamais... Mais jen e peux faire telle folie... Si je n'avais pas été du rang qui est le mien, j'aurai put partir avec vous, un soir sans lune... Comme deux amants maudits par leurs familles..."

Elle ne put continuer, ses yeux s'étaient embuées, et sa gorge s'était nuée... Elle l'aimait tant... Pourquoi le destin était il si cruel...

Timide à la Cour Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 19/02/2007

Elle avait raison, faire telle folie serait signer leurs arrets de mort à tous les deux. Le futur époux de son aimée ne se laisserait jamais faire si facilement. Mais comment viverait il sans elle? Sans pouvoir la voir, la toucher... Lui parler... Mais pourquoi avait il été touché par cette flèche d'amour si cruelle... Pourquoi eux? Alors que Marie et Louis pouvait s'aimer et etre vu... Tout deux devait se cacher et prendre garde à ne pas etre vu ni entendu...

Lorsqu'elle le ramena sur terre, Simon vit les yeux de sa belle briller de larmes... Il en était sur maintenant, il n'y avaitpas que son coeur à lui qui était écartelé par cet amour impossible.
Il lui sourit tendremenent, et l'une de ses mains vint éffleurer la joue pâle et douce de la belle demoiselle de Romans. Il lui dit alors avec la plus grande tendresse du monde:

"-Joséphine... Ne pleurer pas... Je ne mérite pas vos larmes, je vous serai fidel toute ma vie meme si tout comme vous je doit épouser une personne autre. Je vous aime plus que tout... Soyez en plus que certaine..."

Il plongea ses yeux dans les siens, son souffle était plus court qu'avant, il était si comblé d'etre enfin au près d'elle. Il approcha son visage charmeur de celui de sa douce, et il déposa un chaste baiser sur les tendrs lèvres de Joséphine.

Il se recula, et prenant ses mains blanches dans les siennes, il lui dit encore une fois avant de partir:

"-Je t'aime Joséphine de Romans... A jamais! Ne m'oublie pas... Car moi je ne t'oublierai jamais..."

Il se recula peu à peu, ses mains ne voulant pas lacher celle de sa belle, elles glissèrent peu à peu, et apres lui avoir fait un nouveau sourire plus que charmeur et remplis d'amour, il tourna les talons, préférant la laisser plutot que de lui montrer ses larmes...
Quelques metres plus loin, il se calla contre une colonne de l'opéra et il se laissa allé et déversa toutes les larmes de son coeur et de son corps pour épancher sa tristesse.

Alors qu'elle se retenait de pleurer pour ne pas se montrer faible ou alors pour ne pas lui faire de mal, il lui parla avec tendresse, et à ce moment précis elle recentit un immense sentiment de haine envers son père et son futur mari. Avec leur projet de mariage, ils la privait de ce magnifique amour qu'était près à lui donner Simon... Pourquoi la vie était elle si cruelle avec eux?

Alors qu'il s'approchait de son visage, et que ses lèvres effleurairent pour la seconde fois celle de Joséphine, elle sourit avec tendresse, et en fermant les yeux, elle laissa ses larmes couler.
Le coprs de Simon qui la quittait peu à peu lui fit ouvrire les yeux, et c'est avec une immense difficulté qu'elle lacha peu à peu les mains de Simon. Elle ne voulait pas qu'il parte... Non jamais!

Lorsqu'il eut disparu de sa vu, elle souffla un "je t'aime" de déséspoir, et elle se laissa aller à ses larmes. Elle glissa à terre...

Timide à la Cour Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 19/02/2007

Alors que son coeur et son ame pleurait sur cet amour impossible, sur cette femme si magnifique et exeptionnelle qui lui avait volé son coeur et qu'on lui volait maintenant, l'un de ses amis vint à sa recontre:

"-Simon, je te cherche depuis deja 10 bonnes minutes..."

Réalisant que son ami pleurait, il se mis à genoux à ses cotés et tenta de la consoler comme il le put...

"-tu en trouvera une autre... C'est la vie qui le veut, elle est destiné à un autre tu n'y peux rien Simon, reprends toi voyons... "

Sechant peu à peu ses larmes, sachant pertinament qu'il devait etre patétique, Simon releva les yeux vers son ami, et avec un pâle sourire il le remercia de son soutiens...

"-il faut que je me reprenne... Mais sache que jamais, non jamais je n'en aimerai d'autre qu'elle... "

Sur ces mots, il quitta l'opéra avec ardiesse, priant pour ne pas la revoir... Ni ne croiser son futur époux...

Certes Marie s'était éclipsée pendant que Joséphine était avec Simon mais elle n'était pas partie très loin. Et au moins pour deux bonnes raisons: De un elle était censée faire le guet pour que les deux tourtereaux qui étaient ses amis puissent se retrouver sans risquer d'être surpris ce qui serait plus que facheux. Et deuxièmement, si elle retournait comme si de rien était parmi les invités et que le futur mari de Joséphine la voyait seule, il verrait que les deux femmes lui avaient mentis quand elles lui avaient dit qu'elles voulaient parler toutes les deux.
Marie, elle, était protégée. Etant venue en compagnie du Roi, même cet homme ne pourrait rien lui reprocher dans sa conduite, mais elle ne pouvait se permettre de mettre Joséphine dans l'embarra. Louis ne pouvais déja rien faire pour empêcher ce mariage, alors il serait encore plus impuissant face à l'autorité d'un père et d'un futur époux face à une jeune fille qui trahit leur confiance. Même si dans ce cas la, la trahison était tout à fait justifié.

Le temps commençait à défilé un peu trop vite au yeux de Marie, et selon elle, il vallait mieux retourner en présence de leurs cavaliers si on ne voulait pas éveiller de soupçons. Marie sortit alors du petit recoin où elle s'était cachée et d'où elle avait pu surveiller toute la pièce pour retourner la où elle avait laissé Joséphine auparavent. Mais elle ne s'était pas du tout attendu à la voir dans cette état. Assise par terre à pleurer toute les larmes de son corps par désespoir. Oubliant quelque peu les convenances qui pouvaient régner dans un lieu tel que celui ci, et aussi parce qu'il n'y avait personne pour la voir, Marie se précipita à côté de son amie, se servant de ses deux mains pour soulever sa lourde robe qui l'empêchait de courir.

Sans un mot elle s'assit à côté de Joséphine et l'enserra dans ses bras de façon à la consoler. Elle ne pouvait rien dire, elle ne trouvait pas les mots et d'ailleurs elle trouvait qu'elle n'avait pas le droit de parler. Dire qu'elle se plaignait de ne pouvoir vivre au grand jour son amour avec le Roi, et pourtant Elle, elle avait le droit d'aller à l'opéra au bras de son amant même si en public ils devaient tout nier. Elle, elle n'était encore promise à personne d'autre, elle pouvait se permettre de vivre une idylle secrète. Alors que Joséphine vivait une chose affreuse, que Marie espérait sincèrement ne jamais avoir à vivre.

Au bout de quelques secondes cependant, Marie, d'une voix mal assurée mais qui se voulait un peu autoritaire dit:

"Joséphine, il faut y aller, ne faisons pas attendre plus longtemps le Duc de Dorchester. Il faut partir, c'est la seule chance que vous aillez pour espérer revoir Simon."

Paroles quelques peu égoïste et dures de la part d'une jeune fille qui se prétant être une amie. Et pourtant, sous ses aspects de jeune fille rêveuse, Marie avait quelques notions des choses qui risquaient d'arriver. Peut-être valait-il mieux pour Joséphine garder son amour avec Simon secret plutôt que de la gacher en faisant une bêtise.
Marie se releva donc, entrainant à sa suite Joséphine. Elle espérait ne pas paraître trop brusque et trop dure, elle pensait sincèrement faire ce qui était le mieux pour son amie

"Soyez courageuse Joséphine, Séchez vos larmes, faîte le pour Simon et pour que vous aillez une autre chance de vous revoir."

Alors que peu à peu Joséphine sombrait dans un désespoir sans nom, et que son cœur criait sa peine dans ses larmes intarissable, ce fut la présence féminine de Marie qui la fit revenir à la réalité. Elle était dans l’opéra et elle était ici pour assister à une représentation au bras de son futur époux. Elles avaient menti toutes deux pour permettre à Joséphine de voir Simon, il ne fallait pas que la demoiselle de Romans met encore plus dans l’embarra son amie.

Joséphine leva son visage inondé de larmes vers Marie, et elle lui fit un faible sourire… Marie avait comme toujours raison, il fallait qu’elles retournent au près de leurs cavaliers. Joséphine soupira et après s’être assuré que son visage ne faisait plus voir de trace de son chagrin, elle suivit sa camarade.

Mais avant de passer au milieu de la foule, Joséphine arrêta Marie dans son élan et elle lui confia en toute amitié :

« -Marie si vous saviez comme vous contez pour moi… Que ferai je donc sans vous à mes cotés… Pardonnez-moi de vous avoir éloigné si longtemps de votre Louis… »

Ayant finit sa phrase, Joséphine ne voulu pas perdre plus de temps, et après avoir respiré avec lenteur, elle se fofila entre les gens afin de rejoindre son futur époux. Elle avait son bras autour de celui de Marie, et elle fit mine de rire à ce que venait soit disant de dire son amie avant de dire à Maximilien :

« -mon tendre ami, veuillez excusez mon absence mais cela faisait si longtemps que je n’avais pas vu Demoiselle Mancini. J’espère ne pas trop vous avoir manquez… Si nous allions nous assoir pour assister à cette représentation ? »

Joséphine un sublime sourire à Marie et elle lui dit laissant son bras libre :

« -j’espère vous revoir au plus tôt Marie, cette courte entrevu avec vous m’a été des plus agréable… »

La demoiselle passa son bras autour de celui de son futur époux, et elle salua son amie comme le protocole l’exigeait même si elle aurait préféré lui sauter dans les bras. Il fallait maintenant qu’elle soit forte et qu’elle affronte son destin, bientôt elle serait duchesse, duchesse de Dorchester, marié à Maximilien de Dorchester…

Timide à la Cour Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 09/04/2007

Cela faisait déjà un long moment que la jeune demoiselle de Romans, future épouse du Duc Maximilien de Dorchester avait disparu au bras de son amie Marie Mancini. En homme de combat qu’il était Maximilien commençait à douter de la sincérité des propos de sa dame. Ce fut à ce moment là qu’elle décida de refaire son apparition. Il voulu lui envoyer une réplique cinglante mais son sourire et ce qu’elle lui dit le fit se retenir. Il savait qu’il était dur et qu’il devait certainement lui faire peur… Autant ne pas faire mauvaise impression sur son amie Melle Mancini.
Il se contenta donc de sourire tel un militaire et de lui dire :

"-je commençais à me demander ou donc vous aviez disparu… Mais puisque maintenant vous voilà de nouveau à mon bras, tout comme vous venez de le dire, allons donc prendre place pour voir ce que valent ces artistes. "

Il fit un signe respectueux à Marie, puis il entraina sa dame là ou leur loge était réservée.

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La représentation fut assez médiocre d’après l’avis du Duc, mais elle avait apparemment plus à la demoiselle qui accompagnait son bras, alors il fit mine d’avoir aimé ce qu’ils avaient vu… Même si il était loin d’être le meilleur des comédiens pour cacher ses sentiments. Il salua encore quelques grands de la cours qui étaient présent puis il proposa à Joséphine de rentrer.

Dans la calèche qui les ramenait vers la demeure des Romans, Maximilien dit à l’intention de sa dame, regardant devant lui fixement :

"-ma dame, je sais pertinemment que je vous afflige et que je vous inspire du dégout. Ne croyez pas que je ne sache pas ce que l’on dit sur moi. J’imagine grandement ce que vous devez endurer, et vous m’en voyez navré. Je vous demanderais juste de faire bonne figure lors de notre mariage. Si vous le désiré après cela, jamais je ne vous toucherai. "

La calèche s’immobilisa et enfin Maximilien leva son regard noir sur Joséphine.

La representation théatrale avait remonter le moral de Joséphine, meme si ses pensées secretes étaient toujours tournées vers Simon. Elle avait vu que Maximilien faisait bonne figure mais qu'il n'appréciait pas le moins du monde ce spectacle. Le faisait il pour elle?

Lorsqu'ils s'en allèrent, Joséphine fut grandement déçu de ne pas revoir Marie Mancini, elle savait que la prochaine fois qu'elles se veraient toutes deux serait le jour de son mariage. Souriante et agréable, elle avait souhaiter le bonsoir à toutes les personnes qu'ils avaient croiser sur leur chemin, et elle fut grandement soulagé lorsqu'elle s'assit dans la calèche qui allait la remener chez elle. Elle ne s'attendait pas à ce que Maximilien lui face une telle déclaration.

Elle ne l'avait pas quitté des yeux durant tout son discourt. Pourquoi lui disait il cela maintenant, à si peu de temps de leur mariage? La demoiselle affronta le regard de cet homme froid qui se tenait à ses cotés, et elle lui dit en posant l'une de ses mains sur les siennes jointes:

"-je vous l'avoue vous m'avez fait peur... Mais puisque notre union est mon destin, je serai respecter cela. Et vous respecter vous aussi... Je ne connais rien de vous mais je sens que vous avez souffère... Je ne veux pas vous causer plus de peine."

Elle s'approcha et déposa un chaste baiser sur la joue gauche de l'homme, et elle lui dit pour conclure leur entre vu:

"-je vous souhaite une douce nuit mon ami..."

Sur ces mots, elle frappa à la porte et le valet lui ouvrit cette dernière afin de la laisser décendre de la calèche.