Quelle belle union devant notre créateur...[ouvert à tous]

Timide à la Cour Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 09/04/2007

Aujourd'hui, jour de notre Seigneur, les cloches de la cathédrale de Notre Dame de Paris sonnent à la volées... Le ciel est bleu, seul une petite brise souffle dans les rues de la ville qui sont presque vide. Un évenement se passe... Une union...

A 10h, ce matin meme, Maximilien de Dorchester sera de nouveau présent devant l'autel sacré de la cathédrale, pour passer une bague, une allience au doigt d'une demoiselle qui aurait l'age d'etre sa fille. L'homme a perdu sa femme il y a quelques années, et elle s'est éteinte sans lui laisser d'héritier pour son immense fortune. Ce matin, il sera de nouveau mari, et non plus veuf. Il épousera Joséphine de Romans, une des plus charmante demoiselle que compte la cours de France.

La cathédrale est pleine, le Roi en personne est présent. Le silence se fait dans l'assemblé lorsque l'orge entame cette petite musique particulière qui accompagne chaque jeune femme qui s'apprete à devenir épouse.

Maximilien qui était alors face à l'autel gindé dans son costume, se tourne afin de voir apparaitre celle qui va devenir sienne dans peu de temps. Il sait qu'elle ne desir pas etre à ses cotés, mais ce fut elle meme qui lui en fit part, elle accomplirait son devoir comme il se doit.

Bien au fond de la cathédrale, hissé sur la pointes de ses pieds pour pouvoir voir quelque chose de la cérémonie, Gregoire était venu assister à ce mariage qui avait l'air d'etre grandiose sous la demande de son ami Simon de la Richardiere.

Alors qu'il était sur la parvi de l'opéra le soir de la grande représentation, il avait intercepter Simon. Après lui avoir demander ou il allait si vite, il avait remarqué son visage tiré, Simon avait pleurée.

"-c'est ta belle qui te rend si triste mon ami? Viens donc avec moi, nous allons marché et bavarder un peu..."

Ils avaient conversé durant des heures, et Grégoire était arriver à convaincre son ami de ne plus pleurer sur son sort. Grâce à Grégoire, Simon avait peu à peu retrouver le sourire, ce sourire si charmeur et rieur qui était le sien. Après avoir rédigé une longue lettre pour sa belle, il avait demandé une dernière faveur à son ami.

"-je t'ecoute Simon"
"-Grégoire, j'aurai aimé que tu assistes à son mariage... Pour m'en parler apres... Et pour veiller sur elle de loin... Je t'en pris fait le pour moi."
-"Simon, je ferai tout pour toi voyons. Ne t'en fait pas ta belle Joséphine sera sous bonne garde!"

Grégoire avait lançé cela en s'éloignant, mais avant de tourner les talons définitivement, il entendit son ami lui crier au vent:

"-pas de trop près n'est ce pas!"

Cela fit sourire le jeune bourgeois, puis il disparu dans la nuit.

Aujourd'hui, il s'était mis sur son 31 pour etre présentable à ce mariage... Il avait vu l'époux, et certe, il n'imaginait pas la belle Joséphine à son bras... Mais le destin en avait voulu ainsi... Alors que la musique commençait, Grégoire avait hatte que cela soit terminé, il ne se sentait pas à sa place ici...

Prête, oui, aujourd'hui, Joséphine était prête à affronter son destin. Après avoir lu et relu la lettre de Simon, elle s'était jurée qu'un jour, tôt ou tard, ils se reveraient et alors là, elle serait sienne. Meme si son coeur lui appartenait pour toujours elle voulait etre près de lui, plus proche encore qu'ils ne l'avaient été tout le deux.

Vêtue comme une véritable princesse, dans une robe à la traine immense, immaculé de blanc, Joséphine serrait entre ses mains fines un bouquet de roses rouges... Elle était coiffée et maquillée de la faon qu'il fallait pour la rendre irresistible et parfaite pour la journée.

Lorsqu'elle posa le premier pied dans la cathédrale, au bras de son père, elle sentit la foule retenir son souffle. Au pied de l'autel se tenait l'homme qui allait etre son époux maintenant... Maximilien de Dorchester se tenait droit comme un I dans ses plus beaux habits... Et Joséphine fut presque heureuse de voir le regard qu'il lui adressait et le sourire qui apparaissait sur ses lèvres.

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Comme elle était belle et désirable dans sa longue robe blanche... Ses longues cheveux noirs faisaient un parfait contraste autour de son visage et faisait ressortir l'ange et le démon qui était en elle...

Joséphine de Romans, bientot de Dorchester... Elle serait bientot à son bras, son souffle deviendrait court sous la pression des regards sur elle... Le prêtre dirait les mot qu'il faudrait et l'un apres l'autre, Joséphine et lui meme Maximilien, répondrait par un oui je le veux... Leur union serait cellé devant Dieu et rien ne pourrait la défaire...

Maximilien n'aimait pas cette demoiselle, certe il la trouvait magnifique mais il savait que jamais elle ne pourrai l'aimer... Il avait bien remarqué la petite flamme dans les yeux de la demoiselle lorsqu'elle appercevait le Duc de la Richardière... Tous était compréansible apres tout, il était beau jeune et fougueux... Maximilien lui n'avait qu'à offire à cette jeune femme qu'un nom et une fortune...

Lorsque Joséphine arriva pres de lui, Maximilien lui fit un sourire amicale, et il lui tendit son bras avec galenterie pour la mener jusqu'à l'autel...

La belle demoiselle pris le bras que lui offrait le Duc et elle lui adressa un petit sourire avant de baisser les yeux sur la dentelle de sa robe... Même si il lui avait confié son coeur et qu'il lui avait juré de ne pas lui faire de mal, Joséphine ressentait toujours quelques frissons de peur lorsqu'elle était en présence de cet homme... Il était si sombre... Peut etre pourrait elle l'aider à retrouver la gout de la vie...

Un silence impressionnant reignait dans la cathédrale... Cette meme cathédrale ou Simon lui avait confié son amour... Là ou il lui avait voler un prmeier baiser... Que de souvenrirs... Comme il lui manquait aujourd'hui... Elle aurait tant aimé voir son visage parmis la foule qui était présente aujourd'hui dans ce senctuaire... Cela l'aurait peut etre rassuré un peu... Mais il reviendrait vite, et bientot ils pourraient se voir de nouveau... Ce simple fait permettait à Joséphine de garder espoir.

L'homme d'église commença la cérémonie, et la suite ne fut que des debout assis, à genoux la tete baisé pui levé... Jusqu'au moment ou il pronça les mots si dur... Il fallait qu'elle répond oui, mais dans sa gorge il y avait comme un noeuf... Maximilien la regardait avec une lieur intense dans les yeux, il esperait tant, elle ne pouvait le décevoir, ni lui ni son pere... Joséphine baissa les yeux encore une fois, puis apres avoir pris une lente respiration, elle leva les yeux sur son futur époux et affichant un sourire elle dit:

"-oui, je le veux..."

L'anneau d'or vint alors se passé à son doigt et la froid du métal reveilla un peu la demoiselle... Voila c'était fait, elle ne pouvait plus revenir en arrière, elle était marié et elle s'appellait maintenant Joséphine de Dorchester... Duchesse...

[ouh le méchant double post!!! Mais je suis bien obligé de cnclure cette histoire d'amour il y a si longtemps commencé. Et pis je voulais pas éditer, car je voulais que les gens puissent lire le post.]

Alors que la cérémonie touchait à sa fin, Joséphine prenait pleinement conscience de ce qu’elle venait de faire, du sacrifice qu’elle venait de faire de sa vie. Elle réalisait réellement qu’elle venait de se « vendre » pour son père pour son rang et sa famille. Pour sauver l’honneur, et puis l’argent, pour un père trop cupide pas assez aimant et à l’écoute de son enfant. En acceptant de dire oui devant cet autel, devant Dieu et le Roi, en prenant le bras et la main de cet homme si froid qu’était Maximilien de Dorchester elle avait comme donné son âme.

Mais ce qu’elle savait c’est qu’elle n’avait pas vendu son cœur, celui-ci appartenait à jamais à Simon, qu’importe ce que pouvait en penser les gens, elle ne pourrait jamais être une épouse parfaite et épanouie au bras du Duc puisqu’elle ne l’aimait pas. Celui qu’elle chérissait était aujourd’hui loin de Paris, parti pour ne pas accomplir une chose terrible soit pour elle soit pour lui… Et pourtant elle le sentait comme proche, si proche. Elle sentait encore la douceur de ses lèvres, le parfum de ses cheveux, le ton rieur de sa voix… Elle aurait aimé le voir ici, même si cela lui aurait fendu le cœur de voir son regard poser sur elle alors que cette maudite bague venait lui emprisonner le doigt.

Comme il l’avait promis le Duc ne la toucha pas, il déposa un chaste baiser du bout des lèvres sur la joue pâle de Joséphine, avant de prendre sa main et de la conduite jusqu’à la sortie de Notre-Dame. Lorsqu’ils furent à la demeure de ce dernier, il lui montra ses appartements, et se retira pour la nuit dans les siens. Malgré la peur qu’elle avait de lui, Joséphine lui était reconnaissante d’être un homme de parole. Elle avait tenu un sourire radieux tout au long de la journée, mais lorsque la porte se referma sur elle, comme celle d’une cage d’orée, elle garda bonne figure devant la femme de chambre qui l’aida à quitter la robe dont elle était parée et à se vêtir pour la nuit… Lorsque la jeune femme quitta la pièce Joséphine se jeta sur le lit, et se laissa aller à son chagrin. Elle était comme prisonnière de cette vie pourtant si belle que pouvait lui offrir le Duc. Son cœur était si triste de ne pas être près de Simon…

Vaincu par la fatigue de la journée et par le chagrin, la jeune femme finit par s’endormir. Ce fut un bruit à la fenêtre qui la tira de son sommeil en un sursaut. Quel était donc ce bruit ? Avec prudence Joséphine se leva et se dirigea vers les fenêtres dont les volets n’avaient pas été fermés. Lorsqu’elle regarda avec hésitation par le carreau, elle aperçu des ombres… Deux exactement. Le cœur de Joséphine s’emballa quelques peu, qui cela pouvait il être, des voleurs ?

La lune était présente au milieu du ciel, et cela permis à Joséphine de distinguer l’un des hommes. Mais cette silhouette ? Non ! Elle devait rêver, son esprit s’égarait à cause de la tristesse et de la fatigue de sa journée. Mais elle eut la certitude qu’elle ne faisait pas de rêve éveillée lorsqu’une des deux ombres s’avança vers elle. Lorsqu’elle vit le visage, en quelques secondes, elle avait ouvert la fenêtre dans le plus grand silence. Et son souffle se coupa lorsqu’elle vit pénétrer dans la chambre celui qu’elle aimait. Simon en personne. Elle lui sauta au cou et souffla à son oreille :

« -Simon… Mon Dieu… Mais que faites-vous là ? Seriez-vous devenu fou ? »

Le jeune homme sourit à sa bien aimée et lui souffla après avoir déposé un baiser fougueux sur les lèvres de la jeune femme :

« -fou de vous mon aimée… Je ne pouvais partir si loin de vous, sans vous… Je viens vous enlever ! »

Joséphine resta figée de stupeur, l’enlever ? Il l’aimait donc vraiment au point de ne pouvoir vivre sans elle à ses cotés ? Un sourire se dessina sur ses lèvres et sans hésiter un instant, elle alla chercher une cape, afin de se protéger du froid de la nuit. Elle prit également quelques affaires, afin de pouvoir se vêtir. Lorsqu’elle revint vers Simon qui se trouvait prés de la fenêtre, elle lui sourit et en déposant un baiser sur ses lèvres elle dit :

« -je vous suivrais au bout du monde ! »

Ce fut ainsi que la toute nouvelle Duchesse de Dorchester disparu mystérieusement la nuit de son mariage…

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