Dernier jour de liberté pour Joséphine

Joséphine et Philippe avaient des chevaux d'une grande beauté. Philippe avait comme d'habitude son grand cheval noir, fougueux .

Ils partirent donc dans une longue chevauché folle. Ils partirent au galop pendant presqu'une heure à travers la forêt. Puis, les chevaux se fatiguèrent et Philippe porposa alors:

"Il y a un lac un peu plus loin nous pourrions nous y arrêtés et voir le couché de soleil avant que je vous ramène à Versailles. Cela vous ferait-il plaisir?"

Philippe voulait que le dernier jour de liberté pour Joséphine soit le jour le plus beau de sa vie puisque son mariage ne le serait pas. Il voulait la faire rêvé.

Alors qu'elle sortait des écuries royale chevochant un pur sang arabe avec une magnifique robe blanche, la marquise de Romans ne pensa pas un seule instant à faire bonne figure. A peine fut elle sur le dos de l'animal monté comme un homme, elle sourit à Philippe et elle lui lança en riant:

"-le premier qui arrive à la foret!!"

Meme si elle savait qu'il était de sang royal et qu'elle lui devait du respect, aujourd'hui elle n'en avait que faire du protocole... Elle voulait rire, et vivre pleinement sa dernière journée de liberté.

Alors qu'elle talonnait sa monture et qu'elle partait au galop laissant Philippe derrière elle, Joséphine savoura avec déléctation le vent sur son visage et dans ses cheveux... Comme s'était bon, elle se sentait revivre.

Après une longue et fougeuse chevochée, Joséphine stoppa sa monture, se laissant ratrapper par celle de Philippe. Ce dernier lui proposa de regarder le couché du soleil qui ne tarderait plus... Lorsqu'elle apparcu le lac, Joséphine pensa tout de suite à Simon... comme l'endroit eut été romantique...

Philippe regarda Joséphine et se dit que ce qu'il fallait à cette belle demoiselle était de s'éloigné du protocole. Alors il lui accorda une chose qu'il n'avait accordé qu'à carmen. Il n'oubliait pas sa belle, loin de là.

"Mademoiselle, je vous demanderais un service en retour de cet après midi. Appellez moi par mon prénom et tutoyez moi, quand nous serons seuls car sinon nous aurons des ennuies tous les deux."

Il lui sourit, espérant de tout coeur qu'elle accepte.

Appeller le second fils de France par son prénom et lui dire tu! Ce que lui demandait Philippe était peu décent, mais apres cette folle apres midi, elle pouvait bien se permettre encore une folie... En passant tout ce temps avec Philippe elle en avait presque oublié qu'il était de sang royal... Au fond Louis était tout aussi aimable meme si il se devait de suivre rigoureusement le protocole... Etant Roi il ne pouvait pas ceder comme cela à ses propres caprice.

Joséphine décendit de son cheval, et enleva le more de ce dernier, lel aissant aller se reposer et brouter un peu avant de rentrer. Elle se recoiffa quelque peu, le vent de sa course aillant fait des noeux dans ses longues cheveux bruns. Puis elle dit en se tournant vers Philipe un large sourire au lèvres, et une nevie folle de se jetter dans ses bras pour le remercier:

"-merci Philippe... Je n'oublierai jamais ce que "tu" as fais pour moi... J'accepte de te nommé par ce prénom qui est le tiens si en échange tu en fais de meme pour moi... Après tout je ne suis rien comparé à toi..."

Elle pris sa main et l'entraina au bord du lac, elle s'assis dans l'herbe haute et elle reprit:

"-plus de mistère, racontez heu, raconte moi aussi ta vie... Tu connais mes tournant et mes obligations, mais qui es tu donc derrière cette belle armure?"

Philippe fût eureux qu'elle accepte de le traité comme elle traiterait un autre homme. Il voulait enfin qu'on passe outre son sang bleu.Il lui sourit. Mais lorsqu'il lui demanda qui était derrière son armure, une ombre assombrit son visage. Le regard de Philippe fuyait la belle joséphine.

Qu'avait-il à dire sur lui? Après tout, on ne lu iavait toujours qu'il n'était que le frère de Louis XIV, le frère du Roi Soleil. Les nobles ne le traitaient pas comme un homme et aux yeux du peuple, il n'était qu'un noble. Il ne savait où trouvé sa place. Aprèsun long silence, il répondit d'une voix lourde de chagrin à Joséphine:

" Que dire de moi? Je ne suis que le second fils de France et rien d'autre...Il baissa les yeux et cueilla une herbe avec laquelle il joua. Rien d'autre aux yeux du monde."

Philippe ne savait pas s'il devait parler de son amour pour Carmen. Il ne voulait pas que cela s'ébruite à la Cour sinon Carmen serait vite effacée de sa vie par les espions de Mazarin.

Joséphine se rendit tres vite compte qu'elle venait de dire quelque chose qu'il ne fallait pas. Le visage de Philippe s'était assombrit, et lorsqu'il fuilla son regard, Joséphine fut convaincu qu'elle n'aurai pas du demander cela...

Elle le regarda au fond des yeux lorsqu'il lui répondit qu'il n'était autre que le frère du Roi. Elle lui sourit et en se tournant un peu plus vers lui, elle lui souffla:

"-pardon de n'avoir pas dit les mots qu'il fallait... Mais Philippe... Comme peux tu dire que tu n'es rien d'autre que le frère du Roi... Si je devais te décrire alors que nos chemins ne se sont croisé qu'aujourd'hui je dirai de toi que tu es un don du ciel... Philippe tu es un homme extrahordinaire, et je t'interdis d'en douter... Regard ce que tu as fait de moi aujourd'hui... Une sauvagone... J'ai eut l'impression de revivre et cela, c'est grâce à toi... Je sais qu'un jour une jolie jeune femme te le dira encore plus sincèrement que moi..."

Elle caressa la joue rapeuse du seconde fils de France à qui elle tenait tellement apres cette magnifique journée...

Philippe fût troublé par cette caresse. Il ne voulait pas qu'on le voit faible. Joséphine était extraordinaire aussi. Il espérait qu'elle trouve l'homme qui lui fallait, sans que son époux le lui fasse payer, mais il ne savait pas comment le lui dire.

"Je t'ai fait vivre aujourd'hui ce que je désire vivre. En te faisant sauvageone, je me suis fait sauvage aussi. Je suis Prince mais aujourd'hui je n'étais qu'un homme grâce à toi. Merci. Je crois qu'il est tant qu'on rentre au château. La nuit arrive et il va faire froid."

Ils rappelèrent les chevaux et remontèrent. ILs galoppèrent sans dire un mot jusqu'aux écuries où il redéposèrent les pur-sang.

Philippe racompagna Joséphine jusqu'à la terrasse.

Alors qu'elle allait monter en calèche, pour rentrer à la demeure du Marquis de Romans son père, Joséphine fit encore quelques pas en compagnie de Philippe. Puisuqe des gardes et des serviteurs étaient un peu partout, Joséphine réadopta le vouvoiment avec Philippe.
Elle lui dit, avant de partir:

"-merci Philippe pour cete belle apres midi... J'espère qu'un jour, meme si j'aurai bague à mon doigt demain, vous me permetré de revivre un tel instant... J'espère que vous vous etes également amusez..."

Elle serra sa main droite avant de femrer la petite porte de la calèche qui allait la ramener chez elle et lui dit:

"-restez vous meme mon ami, vous etes unique..."

SUJET CLOS

» Par un beau jour.