Molière premiers pas à la Cour en secret

Philippe avait invité Molière à faire une représentation privé dans ses appartements. Pour l'occasion, il avait invité quelques amis afin de juger le jeune comédien et sa troupe avant de les présenter à notre cher Roi-Soleil.

Il avait ordonner que l'on prépare son petit salon pour l'occasion. Des fauteuils magnifiquement ornés avaient été installés devant une grande place vide où les acteurs devaient se tenir.

On avait préparer pour l'occasion des rafraîchissements et quelques amuses-bouches. Philippe était dans la partie chambre de ses appartements. On était en train de le vêtir de son costume jaune dentellé. On le maquille et l'apprête.

Philippe, malgré ce divertissement qui s'annonçait festif, n'avait pas le coeur à rire. Carmen et leur dernière discution restèrent dans sa mémoire très douleureux. Un domestique arriva et annonça à Philippe:

"Monsieur, Messieurs le Chevalier de Lorraine et le Comte de Guiche sont arrivés."

Philippe était ravi de recevoir ses amis malgré l'immense tristesse qui envahissait son coeur. Une fois apprêté, il entra dans le salon. Les deux mignons saluèrent Monsieur et prirent des rafraichissement en attendant les autres invités et les comédiens.

Antoine arriva devant les appartements de Philippe, bien apprêté pour l'occasion. Il n'avait jamais vu de pièces de théâtre et il avait hâte d'assister à une représentation de Monsieur de Molière, et surtout de revoir Philippe. Il s'approcha du domestique posté devant la porte et s'annonça.
Le valet disparut dans les appartements.

"Monsieur, Monseigneur d'Aumont vient d'arriver."

Il s'inclina et reparut devant Antoine en l'invitant à entrer.
Antoine entra dans les appartements et salua aimablement Philippe, un grand sourire aux lèvres.

Philippe salua le jeune homme. Nous verrons si ce brave homme a du gout en matière d'art. Philippe était le plus qualifié pour l'art et les divertissements.

Etait-il venu avec sa charmante soeur anne-Elisabeth?

"Heureux de vous revoir mon cher Antoine. Vous n'êtes pas accompagné de votre soeur?"

Un domestique s'approcha et servi au deux hommes une coupe de vin rouge.

Philippe mena Antoine auprès de deux autres hommes.

"Voici deux amis proches: Le comte de Guiche et Le chevalier de Lorraine."

"Ma soeur ne devrait plus tarder à arriver, Monseigneur. Elle doit certainement finir de se préparer pour cette grande occasion."

Antoine s'inclina devant le comte de Guiche et le chevalier de Lorraine. Il ne connaissait pas ces hommes, d'ailleurs il ne se rappelait pas les avoir déjà croisé à la Cour. Malgré leur apparente courtoisie, Antoine se méfiait déjà de ces hommes, comme une sorte d'intuition jalouse... Il sourit néanmoins aux deux hommes.

Philippe regarda le jeune homme et lui parla à part.

"Vous devez connaitre les rumeurs de la Cour! voici qui devrait les alimenter."

Il rigola à gorge déployer comme lui seul savait le faire. Il retourna auprès de ses deux amis. Il attendèrent la jeune femme et Molière, surtout.

Antoine ne laissait pas indifférent Monsieur le frère du roi mais il s'aventurerait pas sur ce chemin là. Le jeune homme était trop ignorant de la Cour pour connaitre certaines moeurs et Philippe gardait Carmen dans son coeur rêvant presque de la voir surgir par le passage secret qu'il avait emprunter la première fois.

Invité

Anne-Elisabeth finissait de se préparer pour assister à une représentation de théâtre. Représentation en petit comité, lui avait dit son frère. La jeune femme était nerveuse, cela devait se passer dans les appartements du frère du Roi et elle ne se souvenait que trop bien de ce qu'il s'était passé au bal. Elle espérait juste qu'il ne la reconnaîtrait pas. Elle se regarda une dernière fois dans le miroir de sa coiffeuse puis se leva. Tournant sur elle-même, elle demanda à sa dame de compagnie à quoi elle ressemblait. Ayant reçu son approbation, Anne-Elisabeth esquissa un sourire.

"Alors allons-y."

Elle s'engagea dans les couloirs, suivie de sa dame de compagnie. Prenant une dernière grande inspiration, limitée par le corset ceci dit, elle avança le long du dernier couloir. Arrivée devant la porte des appartements du frère du Roi, elle s'annonça au volet qui attendait à l'entrée. Le voyant disparaître derrière la porte, elle se demanda si son frère était déjà arrivé. Elle l'espérait, certes sa dame de compagnie était sa confidente, mais dans un cas comme celui elle lui serait d'un maigre réconfort.

Le valet revint peu de temps après, l'invita à entrer. Anne-Elisabeth pénétra dans la pièce, sa dame de compagnie toujours à sa suite. Elle fit un léger sourire à son frère et salua Monsieur.

[HRP : Va falloir que je lui donne un nom à ma dame de compagnie…]

Monsieur, en bon excentrique, cacha sa tristesse et poussa un long soupire de soulagement dont lui seul a le secret. Il alla vers Anne-Elisabeth boitant et s'appuyant sur sa canne.

"Soyez les bienvenue, Mademoiselle d'Aumont."

Philippe la salua et, au risque de choqué ses invités, lui fit un baise main. En se relevant, il croisa le regard envoutant de la belle. Il l'avait déjà vu quelque part mais il ne se souvenait pas où. Puis se rendant compte qu'il dévisageait la jeune demoiselle, il se secoua doucement la tête. Il ordonna que l'on serve du vin à la fille et à sa dame de compagnie qu'il avait saluer avant de rejoindre ses amis.

Molière était le dernier invité attendu.

Antoine sourit quand il vit entrer sa soeur. Elle était enfin arrivée. Quand il vit Philippe lui faire un baise-main, il se sentit un peu mal à l'aise. Il fronça quelque peu les sourcils, mais il ne savait pas en direction de qui allait sa jalousie. Il avait encore du mal à voir un homme, si amical soit-il, s'approcher si près de sa soeur. Et Philippe n'était plus n'importe qui, ce qui le rendait encore plus gêné. Il tenta de dissimuler son désarroi et invita Anne-Elisabeth à s'asseoir près de lui.

Invité

Légèrement gênée par le baise main que venait de lui faire le frère du Roi, ses joues se colorèrent un peu. Mal à l'aise tandis que Philippe la dévisageait, elle se demanda si le jeune homme l'avait reconnue. Apparemment non, puisqu'il n'ajouta rien, et retourna auprès de deux hommes que la jeune femme ne connaissait point.

Son verre de vin à la main, elle se rapprocha de son frère. Elle se demanda si beaucoup de monde était encore attendu ou s'il ne manquait plus que les comédiens et le dénommé Molière.

"Comment allez-vous mon frère? Vous me semblez bien nerveux?"

Son frère n'avait pratiquement aucun secret pour elle et elle avait bien remarqué que celui-ci n'était pas dans son état normal. Heureusement pour Antoine, Anne-Elisabeth était une des rares personnes, si ce n'est la seule, à pouvoir le démasquer.

En entendant la question de sa soeur, Antoine détourna un instant la tête pour tenter de dissimuler ses pensées. Il savait qu'Anne-Elisabeth avait toujours été très douée pour démêler ses émotions, et il n'avait pas envie qu'elle devine qu'il s'inquiétait de plus en plus pour elle. Il fallait qu'il reste maître de la situation, du moins il fallait qu'elle le croit. Depuis l'accident de Philippe, il n'était plus tout à fait le même et avait du mal à trier tout ce qui se bousculait dans sa propre tête.

"Je vais bien, ma soeur, ne vous en faites pas. Juste la joie et la surprise d'assister enfin à une pièce de théâtre !"

Il savait que ce mensonge ne laisserait pas sa soeur dupe bien longtemps, mais il n'avait pas trouvé mieux. Le ton qu'il lui avait donné était affectueux, mais son visage ferme lui indiquait que la discussion était close. De toute façon, lutter était inutile face à Anne-Elisabeth. Tôt ou tard, il aurait une vraie discussion avec elle. Il savait déjà que ce serait sur l'initiative de la jeune fille, et que ce serait très bientôt.

[HJ:Vu que Monsieur Molière ne répond pas je vais abrégé vite fait la représentation et il se joindra à nous après]

Les acteurs firent signe au domestique qui alla voir Philippe pour le chuchoter à l'oreille.

"Mes amis, prenez place !les artistes sont prêts. N'oubliez pas nous jugeons pour le Roi!"

Dit Philippe. Il alla s'asseoir sur le fauteuil central majestueux doré. IL s'assit et croisa ses jambes. Il sortit un éventail qu'il secoua devant son visage enjoué. Il souriait car, à la Cour de France, on se doit de paraître plus qu'être. Ses invités prirent place autour de lui: les femmes à gauche et les hommes à droite. Philippe était le plus proche à la droite de Philippe ce qui déplu fortement aux deux mignons.Les bougies furent éteintes et le rideau s'ouvrit pour faire débuter la pièce sous les exclamations du petit public de grandes gens.

Marie était tout de vert vêtue, ses cheveux remontés en lourd chignon sur le dessus de sa tête, de nombreuses anglaises pendant des deux côtés de sa tête. Elle s'était faite belle comme on pourrait le dire à notre époque, même si tout est relatif, puisque Marie portait ce genre de tenue tout les jours. Mais elle tenait à être présentable, aujourd'hui elle était invitée chez Monsieur, le Frère du Roi pour assister à la représentation d'une pièce. Un certain Molière, un homme dont elle avait à peine entendue parler (pour le moment).

La jeune femme ne se fit pas prier lorsqu'on la fit entrer dans la pièce, et elle s'assit la où lui dit. Elle était séparée de Philippe de seulement un fauteuil. Dommage, c'était peut-être le seul qu'elle appréciait ici. Enfin, elle ne connaissait pas tout le monde, et il ne valait mieux pas médire sur les personnes qui étaient autour d'elle et peut-être tout à fait fréquentable. De plus elle était la pour écouter et non pour discuter.

Elle s'autorisa tout de même un petit mouvement de tête et un sourire à Phillipe. Après tout la pièce n'avait pas commencé, et tout les invités n'étaient pas encore installés. D'ailleurs la voisine qui la séparait du prince n'était toujours pas la. Se penchant légèrement sur le côté de façon à pouvoir parler à Philippe elle dit.

Je tenais à vous remercier pour votre inviation Philippe. Mais puis-je vous demander quel est le nom de la pièce que nous allons voir. Je ne connais pas vraiment ce Molière que vous semblez apprécier comme tant d'autre ici. Dîte m'en un peu plus.

Et oui, même si Marie ne connaissait pas ce Molière, elle connaissait Philippe et sa réputation qui disait qu'il avait très bon gout. Or si Philippe aimait c'est que ce Molière était un bon dramaturge et il ne fallait pas oublier que Marie était une grande curieuse et une femme très savante, aimant par dessus tout pour se distraire la lecture, la musique et l'art

Philippe fût enchanté de voir la Belle Marie répondre à son invitation. Il avait promisà son frère de prendre soin d'elle chose qu'il fît avec beaucoup de soin et en toute amitié. Il répondit à son sourire et lorsqu'il vit la charmante se pencher vers lui pour lui parler il se pencha également pour l'entendre.
"Ma chère, ce Molière est dit-on un grand homme. Je suis persuadé au premier regard que cet homme sera une lumière à Versailles. Je lui ai laissé le choix de la pièce. Nous aurons la surprise. Permettez moi de vous dire que vous radieuse aujourd'hui."
Philippe lui sourit et pensait cela en toute amitié bien évidemment.Il savait que Marie serait bientôt triste lorsqu'elle apprendrait que Louis partait au front et que sa décision était irrévocable. Un éclair traversa l'esprit du jeune prince de la maison Bourbon. Décision irrévocable ? même si la belle intervenait ? Philippe demanda à ce qu'on mette MArie à sa gauche. Il se pencha vers elle et lui parla.
"Mademoiselle êtes vous au courant de..enfin de ... du départ de mon frère?"

Hj: Avec is on fait un sujet ou on complote pour empêcher louis et françois de partir, donc on va dire que la scène qu'on fait tout les deux sa se passe juste après qu'on est complotée toute les deux, sauf que comme on ne sais pas encore ce qu'on va faire je pourrais pas forcément te dire des trucs super précis.

Marie sourit en retour à la réponse de Philippe et laissa son esprit vaguabonder un instant. Elle ne connaissait que peu de chose de l'art Français, enfin elle connaissait beaucoup de chose mais elle ne les avaient jamais vu en vraies, elle en avait juste entendue parler. Elle sentait que ce divertissement serait royal.

Pourtant le ton de la conversation changea vite, il passa de gai et innoncent à triste et préocupé. Philippe s'était encore plus penché et était presque en train de chuchoter. C'était normal car la conversation était devenue des plus privée et il ne fallait surtout pas que d'autres gens puissent l'entendre. Sa n'était pas le moment de lacher ouvertement le morceaux à propos de Louis et elle.

Les yeux de Marie s'ouvrirent tout rond comme des soucoupes. Même Philippe était au courant du départ de Louis, chose plutôt logique étant donné que c'était le frère de son amant, et même lui ne l'avait pas mis au courant dès le début. A croire que tout le monde avait voulut garder ça secret, ou bien personne ne s'était soucié de savoir si cette décision avait pu l'atteindre. Autant vous le dire, Marie était quelque peu en colère. Mais comme à chaque fois à la cours, elle se força à cacher ses sentiments, ne laissant transparaitre qu'un visage triste.

"J'ai entendu cette rumeur, mais puisque vous m'en parler c'est que ce n'est malheureusement pas une rumeur. Je suis certaine que vous avez essayez de le dissuader de partir ... mais que ça n'a pas marcher"

Marie décida de passer sous silence ce qu'elle avait prévu de faire avec Isabelle. Elle avait confiance en Philippe mais il y avait quand même trop d'oreilles indiscrètes autour d'eux.

Philippe se leva et tendit son bras à Marie.

Venez nous allons parler plus loin.

Tous les mignons regardèrent Marie d'un mauvais oeil. Philippe l'emmena dans la pièce où Philippe dormait. IL ferma les portes derrière eux. Il se retourna et avit l'air inquiet.

Marie j'ai essayer de convaincre mon frère de ne pas y aller mais vous comme moi savons que rien ne le fera changer d'avis même vous qui êtes son coeur.

Philippe tomba à genoux devant Marie et lui prit les deux mains choquant la belle.

Je vous en prie. Mon frère est tout ce que j'ai. J'ai beau essayer de lui faire plaisir en faisant semblant d'être de son côté, je ne veux pas perdre. Il veut être au front. Mon frère est le seul qui m'éstime. Je ne veux pas devoir le mener à Saint-Denis avec vous vêtue de noir prêt de moi.
Je lui ai fait la promesse de m'occuper de vous et veiller à ce que votre place à laCour ne soit pas en danger. Je tiendrais ma promesse.

Malgré la fierté qu'il avait et tout ce qu'on lui appris pour rester homme en toute circonstance, Philippe pleura en tenant la belle dans ses bras. Puis comme s'il se rendait compte de ce qu'i lfaisait, i lse releva essuya ses larmes d'un revers de manche et regarda MArie.

Excusez mon moment d'égarement je n'étais pas à ma place.
Il baissa les yeux comme pour fuir le regard de Marie. Il rougit de ce qu'il venait de faire. Il se retourna pour aller vers la porte.

Avant d'avoir eu la moindre explication, Philippe se saisit du bras de la jeune femme et la mena à l'abris des regards et des oreilles plus loin dans ses appartements. Y avait-il a prendre autant de précautions, qu'allait lui dire le frère du Roi ? A vrai dire tout cela effrayait un peu Marie qui ne savait pas vraiment ce qui se passait ni comment réagir. Elle tentant faiblement de protester et seul ces quelques mots sortir de sa bouche

"Mais .. Philippe ... la pièce va commencer"

Mais aussitôt dit aussitôt fait voila que celui ci était déja à ses genoux. Marie les yeux tout écarquillés ne savait pas du tout ce qu'il fallait faire et elle se contenta de serrer les mains de Philippe en souriant maladroitement.

Et puis qu'est ce que toutes ses paroles voulaient dire. L'espoir qu'avait Isabelle et Marie de raisonner le Roi et François était-il vain ? N'y avait-il réellement aucun espoir de les garder près d'elles. Marie ne voulait pas y croire et préféra chasser ses paroles de sa tête. Elle tenterait tout, mais elle ne laisserait pas Louis partir loin d'elle. Elle avait encore et toujours ce mauvais préssentiment qui faisait rage en son coeur quand il s'agissait d'envisager la penser d'être heureuse en sa compagnie.
Et puis il y avait aussi le fait que Louis et Philippe ai parler de ça ensemble et que finalement il est été décidé que Philippe devrait prendre soin d'elle. Ca la m'étais en ... colère. N'était-elle pas assez grande pour se protéger toute seule, n'était-elle pas assez grande pour qu'on la mette au courant de ce genre de décision et n'était-il pas plus normal que Louis soit celui qui reste auprès d'elle pour la protéger. ~~Oh ça oui, elle allait lui tirer les oreilles et lui faire comprendre à cet homme borné =)~~.

Mais malgré tout ce qui venait de se passer Marie n'avait pas ouvert la bouche, se contentant d'écouter le monologue de Monsieur. Et le voila qui était bien dans l'embarra, mais il ne lui venait même pas à l'esprit dans sourire, l'enjeu était bien trop grave. Aussi lorsqu'il repartit quelque peu rouge et précipitemment vers la porte elle murmura.

"Je vous suis reconnaissante Philippe pour ce que vous avez essayez de faire. Mais ne perdez pas espoir peut-être qu'il changera d'avis au dernier moment."

Bien sur Marie omis de parler de ce moment qui aurait pu faire changer d'avis l'élu de son coeur, mais cela valait mieux. Alors elle rejoignit d'un pas rapide Philippe, un sourire beaucoup plus serein cette fois. Elle était sur qu'elle aurait sa chance .... Si seulement elle savait comme elle se trompait.

Philippe regarda Marie dans les yeux. Il savait d'après la discussion qu'il avait eu avec son frère que rien pas même la belle Marie MAncini ne pourrait le faire changer d'avis. Philippe voulut y croire en se disant que Marie avait certains atouts sur Louis que Philippe n'avait pas. Mais au fond de son coeur Philippe savait que si ni lui ni marie ne pouvait faire changer d'avis Louis Personne ne pourrait.Il sentit qu'il avait offenser Marie lorsqu'il lui avait dit qu'il prendrait soin d'elle voulu se rattrapper. Mademoiselle Mancini, je n'ai pas voulu vous froisser en promettant à Louis de prendre soin de vous mais vous savez à quel point la Cour est monstrueuse et à quel point en l'absence de Louis votre place ici est fragile. Je ne veux pas que Louis revienne à la Cour et apprenne que ma mère ou que votre oncle vous ont envoyée on ne sait où et mariée à on ne sait qui. Comprenez moi! Philippe prit la main de Marie pour lui dire cela.

Pourquoi Marie lisait-elle dans les yeux de Philippe tout ce qu'elle refusait de croire.
Non, il ne fallait pas penser à ce que tout le monde essayait de lui faire comprendre ~~à part Isabelle~~. Il y avait derrière ces deux grandes portes en bois massif un divertissement qui l'attendait. Qui lui ferait oublier pendant une heure au moin ce qui la tracassait, qui ferait fuir ses démons.

"Ne vous en faites pas je comprend tout à fait !"

¤J'aurais simplement aimé être dans la confidence plus tôt, ne pas avoir à apprendre la nouvelle par l'intermédiaire d'un bruit de couloir ...¤

Ne pas en vouloir à Philippe était cependant quelque chose qu'il fallait que Marie accepte, il n'y pouvait rien, ne pouvait empêcher le cours des évènements. Il ne voulait que bien faire. Marie sourit en retour à Philippe, conforté dans ses pensées. Elle voulait croire qu'elle y arriverait un point c'est tout !

Récupérant sa main, Marie poussa la grande porte qu'ils avaient traversé tout les deux précipitamment quelques instants plus tôt. Ils étaient à présent de nouveaux avec les autres invités. Quelques uns d'ailleurs tournèrent la tête vers eux mais n'eurent pas l'audace de faire de commentaire même si les deux jeunes gens ne pouvaient les entendre. Il s'agissait après tout du frère du Roi et il ne valait mieux pas se faire mal voir du frère du Roi.

"Venez, regagnon nos place j'ai l'impression que la pièce ne va pas tarder à commencer"

Philippe retourna s'asseoir prêt de Marie.

Tâchez de vous divertir!

Dit-il puis il s'approcha de son oreille pour lui dire.

J'ai confiance en vous, faites le changer d'avis, il en va de sa vie!

Philippe tourna à nouveau la tête vers la scène. La pièce commença.[HJ: Excusez mais comme Molière n'arrive pas on va passer vite fait sur la pièce SVP!!!]

LEs invités applaudirent. Cétait un succès! Molière était prêt pour être présenter au Roi. Tous se levèrent commencèrent à parler de la pièce. Philippe alla vers Marie.

"Mademoiselle, mon frère doit être seul dans ses appartements vu l'heure. Passez par le passage secret dans ma chambre derrière le rideau.

N'en parlez à personne ce passage secret est le seul chemin qui permet à Louis et à moi de discuter comme des gens normaux. Personne pas même les domestiques ne le connaissent. Louis l'a exiger lorss de la construction de Versailles. Courage!

Discrètement il lui embrassa la main en marque de confiance et de soutien. Il croyait réellement que Marie changerait la donne. Avait-il raison?

SUJET CLOS

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