Louis venant chercher un livre

Il est de connaissant publique que Louis n'a jamais était un très bon élève. L'histoire, la géographie ou les mathématiques sont des matières ne l'ayant jamais passionées, peut être parce que trop... rassionelles ou réelles. Cependant, l'art, la musique ainsi que la danse sont, paradoxalement, des sujets passionnant sa majesté. C'est d'ailleurs dans le but de trouver des ouvrages concerant l'art, que Louis c'était rendue dans la bibliothèque du château.
Bien qu'impréssionante, elle n'était pas exhaustive. Il est de nombreux ouvrages que le rois aurait souhaité acquérir mais qu'il lui était impossible de posséder pour le moment, faute de moyens mais surtout faute de place.
Lorsqu'il poussa les deux gigantesques portes, une odeur qu'il appréciait tout particulièrement vint se greffer à ses narines. Un parfum d'ancienneté, de sagesse mais aussi d'intéligence, c'est tout de même incroyable comme une simple odeur peut faire ressentir tant de chose... Doucement, il se mit à parcourir les rayonnages, cherchant du regard cet ouvrage qu'il aimait tant mais dont il ne parvenait plus à trouver la trace

*Où diable ce trouve t-il ?! Je suis certain de l'avoir ranger ici.*

Lorsque les grandes portes del a Bibliothèque s'ouvrirent, la Marquise de Romans ne bougea pas d'une centimetres du siège ou elle se trouvait assise...
Elle était arrivée le matin à la cours, et après avoir passé quelques heures avec son futur époux qu'elle commençait secretement à détester plus que tout au monde, elle s'était retiré dans l'immense Bibliothèque du Palais...
Joséphine n'était pas une habitué du lui car elle possèdait au chateau de son père une magnifique salle emplie de lirve qu'elle connaissait presque tous maintenant...

La jeune demoiselle avait toujours été une amoureuse des livres... Elle aimait le contact des pages fines et fragiles sous ses doigts... L'odeur qui se dégageait de ces manuscrit enciens...
Le livre qu'elle parcourait parlait d'art, et il y était représenté beaucoup de peintures qui se trouvaient en Italie... Comme elle aurait aimer accompgné son amie Marie Mancini dans son pays natale. Rencontré les peintres les plus celebres et admirer leurs arts...

Elle se mis à rêver l'esprit ailleurs, les yeux plonger dans le vague... Elle n'entendit pas les pas de la personne qui était non loin d'elle...

Absorbé par la sensation de tranquilité et d'apaisement que ce lieux faisait naitre ne lui, Louis n'avait pas remarqué la jeune femme feuilletant le livre qu'il était en train de chercher. Son pas se faisait félin lorsqu'il était dans cette pièce, comme si troubler le silence qui reignait en maitre ici, était un pêché de la plus haute importance.
La déception le gagna lorsqu'il eu parcouru la bibliothèque d'un bout à l'autre sans pour autant parvenir à trouver cet ouvrage. Cet ouvrage le faisant rêver d'ailleurs, d'un monde dans lequel un rois ne serait pas une personne à part mais juste un citoyen comme tout le monde, un monde où l'apparence serait secondaire, mais surtout un monde où chacun serait libre de ses choix et d'être celui qu'il désire être. En d'autre terme, un monde plus libre et sincère...

Cela ne faisait que quelque mois que la majeur des livres se trouvant dans cette pièce faisait partie de sa "collection", par conséquent Louis ne les connaissait pas encore tous. Cependant il comptait bien trouver une place entre ses cours de danse pour venir feuilleter ses véritables oeuvres d'art et ainsi s'évader l'espace d'un instant dans un lieux n'appartenant qu'a lui...

Lorsqu'enfin il nota la présence de la jeune femme une gène naquit en lui. Il s'en voulait d'avoir sans doute quelque peu troublé sa solitude. Elle, par contre, ne semblait pas l'avoir remarqué, Louis en profita donc pour l'observer... Elle possédait de long cheveux brun tombant sur des épaules plutôt fines et bien formées. Tout comme son visage, ses mains paraissait fine, cependant, au travers de sa façon de se tenir, de son expression, le jeune homme cru désseler un caractère affirmé...

- Veuillez m'excuser Madame de troubler ainsi votre solitude...

Il fit un pas dans sa direction en attendant qu'elle daigne poser les yeux sur lui.

Prenant le temps de finir les quelques lignes qui lui restait pour terminer le chapitre 12 du livre qu'elle détenait, elle leva les yeux distraitement sur l'homme qui venait de lui parler... Elle aurait tellement aimer qu'un homme de la cours ne vienne pas la troubler ici, dans ce lieu de silence et de plaisir intense...
Les yeux posés sur le jeune homme qui se tenait près d'elle, après avoir regardé son visage, et ses atours, elle se leva précipitament, sans pour autant faire le moindre bruit... Puis elle effectua une reverance devant cet homme qu'elle venait de reconnaitre...

*Part Dieu, le Roi vint à me parler... *

Gardant la tete baisser, ses yeux fixant ses pieds, Joséphine dit d'une petite voie feutré et presque timide:

"-Sire veuillez me pardonner, je n'avais pas entendu votre Majesté venir à moi..."

Il était bien vrai qu'elle ne l'avait pas entendu, tellement captivé par sa lecture et ses rêveries... Durant les quelques secondes où ses yeux s'étaient posés sur le Roi, elle avait pu connstater ce que l'on disait de lui, il était plaisant homme et d'après ce qu'elle savait, il était de la meme année de naissance qu'elle... Comme elle était confuse d'avoir manqué ainsi de respectà sa majesté... Pour la premier rencontre avec le Roi, cela était plutot mal comencé...

Pourquoi l'attitude de cette jeune femme à son égard lui paraissait-elle familière ? Certainement parce que toutes les personnes de son entourage agissent ainsi lorsqu'il est à leurs côtés... Toutes ces courbettes et toutes ces manières exaxpères au plus haut point le jeune Louis. Personne n'est totalement naturel avec lui, les gens ne se montrent pas sous leur vrai jours, pourtant, il aimerais pouvoir découvrir la personnalité des gens de son peuples, mais aussi celle des personnes de sa cour.
Ainsi, lorsque la jeune marquisse fit sa réverence, Louis perdit son sourire...

- Je vous en prie, ne restez pas dans cette position plus qu'inconfortable. Mais c'est plutôt Mademoiselle qui aurait matière à me pardonner.

Il fit quelques pas dans la pièce avant d'ajouter

- J'ai troublé votre tranquilité...

Tout en marchant, il passa ses doigts sur les divers ouvrages disposés par thèmes, par auteur. Il aimait plus que tout la sensation de légèreté que lui procurait le contact des livres sur le bout de ses doigts

En esitant quelques instants Joséphine finit par ce relever, et elle en fut soulagé... Elle respectait l statut du Roi et sa grandeur, mais elle ne comprenait pas pourquoi tout le monde devait respect à cet homme qui n'était pas plus Dieu qu'elle. On le disait divin, mais en le voyant ainsi, Joséphine cru entrevoir un grand coeur en or qui ne demandait qu'à vivre libre pour s'épanouïr...
Meme si elle savait que cela ne se faisait pas, elle resta le regard fixé sur l'homme qui se tenait devant elle... Louis XIV, le Roi de France... L'homme qui ne voyait pas que son peuple mourrait à petit feue t qui ne comprenait pas pourquoi la revolte grondait à Paris....
Elle lui répondit en baissant les yeux avec son habituelle voie douce:

"-ne vous excusez point Sire, me tranquillité n'as pas été troublé par votre apparition... Bien au contraire, je suis ravie et honnoré de pouvoir parler avec vous..."

Cela était des plus vrai, il n'était pas donné à tout le monde de pouvoir parler avec la Roi en personne... En plus ce de cela, leurs conversation se faisait en toute intimité, loin des yeux et des langues fourchu des gens de la cours...

D'un pas toujours aussi "félin" il revint vers elle. Sans un mot dit il se posta face à elle et nota que son regard c'était attardé sur lui quelques instants. Bien qu'il s'ache que cela ne se faisait pas, Louis était tout de même heureux de voir que quelqu'un osait enfin poser le regard sur lui comme il le ferait sur n'importe qui. Pourquoi tout le monde lui vouait-il une admiration quasi divine, après tout, il n'avait rien de plus que cette jeune femme ou que n'importe qu'elle personne du royaume, si ce n'est un père et une mère respectivement Rois et Reine.
Plus les jours passaient et plus ce sentiment de colère montait en lui, parfois il n'avait qu'une envie, crier au monde son dégout de sa "fonction". Faire enfin remarquer au monde qu'il n'a rien de plus que les autres, mais surtout, ce que Louis aimerait par dessus tout, c'est de passer ne serait ce qu'une seule journée dans la peau d'un simple paysan et ainsi connaître la vrai fierté et la fatigue du corps saine.

- Bien que ne connaissant pas votre nom, je peut sans aucune contradiction assurez à Mademoiselle que l'honneur lui est retourné.

Un sourir naquit alors sur la bouche du jeune souverain. Le livre que la jeune femme tenait entre ses mains l'intriguait tout particulièrement, il lui semblait bien reconnaitre ce même ouvrage qu'il ne parvenait à trouver quelques instants plus tôt

- Si Mademoiselle me l'autorise, j'aimerais prendre connaissance du titre de l'ouvrage dont vous vous délectiez lorsque je suis entré dans cette pièce.

Joséphine décida de braver une fois deplus les interdictions dela noblesse, et elle se permis de regarder le souverain comme si il n'était qu'une personne ordinaire. Après tout, il l'était non? Hormis une courone sur le front de temps en temps... La marquise avait recu une éducation des plus stricte mais elle aimait braver les interdits... Cela faisait partie de son caractère avantureux...
Un sourire s'afficha sur ses lèvres, illuminant son doux visage pâle lorsque le Roi lui fit savoir qu'il était heureux de converser avec elle... Il ne semblait pas si different d'elle...

Lorsqu'il lui demanda le titre du livre qu'elle tenait dans ses mains blanches, elle baissa le regard sur celles ci, et tendit le livre au Roi, en s'approchant un peu plus de lui... Il avait un regard qui transperçait et elle eut l'impression qu'il lisait en elle... Quel interet pouvait dont porter le Roi à cet ouvrage?

"-je vous pris d'accepter mes excuses si sans le savoir j'ai privé sa majesté de cet ouvrage... Mais l'art me facine et je me laissait rever en feuillettant ces quelques pasges... "

Bien qu'elle sache qu'elle ne venait pasd e répondre à la question qui lui était posé, elle tendait lelivre au Roi, il pourrait voir ainsi le titre par lui meme... Plus elle regardait cet homme, plus elle voyait en lui un jeune souverain incompris...

Le jeune homme aimait tout particulièrement l'affrond de cette jeune demoiselle. Elle n'était pas de son rang mais en possédait toutes les qualités selon lui bien sur. Elle osait poser le regard sur lui sans avoir peur des répercutions que cela pouvait entrainer, et Louis appréciait beaucoup ça.
En fin de compte elle possédait le un caractère assez similaire au sien à la différence qu'elle avait le courage de le laisser s'exprimer et ce même devant la personne qui n'est pas la mieux pour le voir s'exprimer. Au plus profond de lui même, le jeune homme s'en voulait énormement d'avoir parmis ses défauts cette lacheté d'opinion ou de caractère. Tout ce qu'il voulait être était l'opposé de son comportement actuel. Il désirait être un rois juste, sans peur d'exprimer ses opinions.

Elle s'approcha de lui et lui tendit alors l'ouvrage. Le simple contact de la couverture suffit à Louis pour reconnaitre ce livre qu'il aimait tant.

- Ne soyiez pas confuse.

Il ouvrit le lire et feuilleta les pages

- Tout comme vois l'art est quelque chose qui me fascine.

Il se placa à côté d'elle pour qu'elle puisse voir la page sur lequel il s'était attardé.

- Voyiez comme le mélange des couleurs est de toute beauté sur cette toile.

Lorsque le Roi fut proche d'elle, sens meme qu'elle s'en rende compte, ses joues devinrent un peu plus roses et son coeur s'exeléra... Jamais elle n'auria pensé qu'un jour elle se tiendrai si près du Roi lui meme, et que ce serait lui qui viendrait à elle...
D'ou elle était elle pouvait entendre la respiration lente du Seigneur...
La coincidence etait plaisante, l'art les passionnaient tout deux... Enfin un homme qui ne pensait pas qu'à lui et à se richesse... Comme cela était peu commun...
Elle regarda la page indiqué par son Sire et elle sourit en relevant les yeux vers lui... Leurs visages n'étaient pas très loin l'un de l'autre... Elle rebaissa les yeux très vite, cela était fort génant... Puis elle dit d'une voie la plus sereine qu'elle put:

"-certes Sire la toile est des plus belle et elle est l'une de mes préféré... J'adorerais pouvoir la contemplé en vrai... Mais mon Père m'interdisant de voyagé, je dois me contenté de venir admiré ses beautées ici..."

Soudain elle se rendit compte qu'elle en avait surement un peu trop dit... Elle n'aurai pas du citer son père... Qu'allait dont penserl e Roi... Qu'elle n'était qu'une enfant gatée et qu'elle faisait là un caprice...

hj: j'ai repondu vite alros c'est pas le top deso!! Mais au moins j'ai repondu...

Lorsque la jeune femme évoqua son père, Louis cessa de contempler la toile pour poser son regard sur elle. Ainsi, même passionée d'art, son père ne l'autoriserais pas à faire un voyage dans le simple but d'enrichir ses connaissance ? Voilà une autre question qui restait sans réponse, comment des parents pouvaient-il être égoiste à ce point ?

Imaginant facilement la gene que devait ressentir la jeune femme, Louis tenta de soulager quelque peu par des paroles réconfortantes dites sur un ton amical

- Ne vous en voulez pas pour ce que vous venez de dire, je comprend tout à fait votre frustration face au refue de votre père.

Peut être qu'il c'était montré trop aimable envers la jeune femme, après tout il ne la connaissait pas. Alors, pour tenter de conserver tout de même son "rang" de rois, il ajouta

- Cependant, je comprend la positon de votre père. Il n'est pas évident ni trés rassurant de laisser sa fille visiter un pays seule et ce même dans le but d'enrichir ses connaissances.

Voyager seule! Bien sur que non, son père aurai fait un malaise si il avait appris cela... Et puis de toute façon, elle meme ne serait pas partie seule au devant de l'inconnu...
Joséphine baissa les yeux, elle était conciante au fond que ce que voulait son père était pour son bien mais il lui interdisait tellement de choses!!! Elle n'avait meme pas ledrit d'avoir une opinion sur son futur époux... A cette simple pensée, un fardeau lourd et pesant s'abattie sur elle... Elle n'avait réélement aucune envie d'etre donné en marige à cet homme si froid et si sombre...

Elle gardal e silence et ne répondit pas à ce qu'avait dit le Roi... Au fond il n'y avait rien à re dire puisqu'il avait raison...
Joséphine ressentie soudain l'envie d'etre seule... Elle avait envie de refléchir un peu et le neuf de sa gorge assurait son envie de pleurer... Malheureusement pour elle il n'était pas question qu'elle trouve un instant de répis pour etre seul, elle avait de nouveau une entrevu avec son futur mari...
Elle esquisa pourtant un sourire pâle à son altesse et elle dit en s'excusant:

"-je suis n'avrée votre altesse mais je vais devoir vous laisser... Des obligations m'appellent ailleurs... J'espère avoir de nouveau l'honneur de vous parler bentot... "

Elle fit une breve réverance et attendit la réponse de Louis avant de disposer...

Quelque parts, Louis fut déçue que cette conversation fut ainsi écourté. Cependant il comprit très bien que la jeune femme ait des obligations ailleurs, surement beaucoup plus importantes et plus passionante que discuter avec le Rois sur l'art Italien que d'ailleur il ne connaissait qu'au travers des livres qu'il chérissait tant.
Il se tourna vers elle et s'inclina quelque peut avant de lui répondre

- Je vous en prie chère demoiselle.

Il lui souria d'un sourrire qui se voulait amicale, surtout pas celui qu'un aurait aurait pu avoir envers l'un de ses sujets, mais plutôt celui qu'un ami aurait pu adresser à l'un des personnes qui comptent à ses yeux...
Il se redressa et continua

- J'espère également avoir l'honneur de discuter à nouveaux avec vous

Ainsi, il la regarda lui tourner le dos et partir de ce lui qui pour Louis était comme un sanctuaire. Un lieux dans lequel il aimait se resourcer.

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