Discussions à la cour du Roi... [Sallon d'Apollon]

Un soleil radieux rayonnait déjà sur la cours du Roi Soleil, dans la grande salle du trône, les nobles de la cours conversaient avec gaitée. Les belles dames avaient revétues leurs plus beaux atours, robes excises et maquillages parfaits... Elles étaient toutes aussi belle que les autres...
Les hommes eux, se pavanaient au milieux de ce beaux monde, cherchant à seduire l'une d'entre elle... La plus part du temps non pas pour leurs beautées mais pour leurs titres et leurs fortunes...

La salle était emplie de rires cristalins et de discutions diverses, de femmes et d'hommes de tous âges... Jeunes et moins jeunes, beaux et moins beaux, riches et riches...

Au milieu de tout ce beau monde, une jeune demoiselle d'une très grande beauté, habillée d'une robe simple de la couleur de l'herbe des champs. Ses longs cheveux bruns tombaient en une cascade de boucles sur ses ménues épaules blanches... A l'inverse de toute les autres femmes de la cours, Joséphine de Romans, n'aimait pas se maiquiller à outrance et passé ses après midi dans cette grande salle... Se pavaner comme le faisait les autres, la jeune marquise ne le suportait pas... Elle ne le faisait que pour plaire à son père avec qui elle avait eut une mésentente hier...

Affichant un sourire rédieux et saluant tous ceux qui lui adressait un regard, Joséphine ourait d'envie au fond d'elle de sortir prendre un peu l'air... Son corset était peut etre un peu trop sérré, et elle sentait qu'elle avait du mal à respirer...
Avec la politesse qui correspondait à son rang, la demoiselle présentat ses excuses aux personnes avec qui elle conversait, et elle se rendit sur le balcon de la salle... Là elle apprécia l'air frais qui venait emplir ses poumons et caresser son visage...

Alors que la jeune Marquise venait à peine de sortir de la salle, et qu’elle commençait à apprécier la tranquillité qui régnait sur ce balcon, la voix de la nièce du Cardinal vint troubler le silence qui entourait Joséphine.
Décidément, Marie Mancini faisait son apparition à chaque fois que Joséphine se trouvait en difficulté…

Leur première rencontre s’était passée dans la roseraie du domaine du Marquis de Romans. Joséphine avait eut une petit altercation avec son père, et elle s’était sauvé en courant, sans même se soucier de la pluie qui tombait au dehors… L’eau du ciel c’était mêlé aux larmes de la jeune femme…

Et c’est la robe couverte de boue, les yeux rougis et les cheveux mouillé que Maire Mancini avait vu pour la première fois Joséphine de Romans… Son oncle, le Cardinal était venu rendre visite au marquis, laissant sa nièce aller à son bon vouloir dans le domaine de Romans.

Marie avait réconforté la jeune Marquise et elles s’étaient assez bien entendu… Une sorte d’amitié les liait à présent.

Un sourire amicale vint se posé sur les lèvres pâle de Joséphine et elle dit en se reprochant de la demoiselle Mancini :

"-mon morale est meilleurs que l’autre jour grâce à vous…"

Puis elle rajouta à voix plus basse :

"-je trouve assez ennuyeux les histoires qui se compte à la cours… Je vous l’avoue…"

Les yeux de la marquise étaient remplis de joie de voir que la demoiselle ne l’avait pas oublié et qu’elle la portait en amitié en venait lui parler ainsi…

Le sourire qui illuminait le visage de la marquise de Romans était des plus enjoué et des plus radieux qu’on est jamais vu. Enfin avoir quelqu’un avec qui converser sans avoir à se cacher, et à mentir à son sujet… Enfin être comprise de quelqu’un, même si les mondes des deux demoiselles étaient différents et similaires à la fois… Mais pourquoi donc Marie Mancini n’était pas resté à la cours d’Italie, elle devait être bien mieux que celle de France…
Joséphine qui elle n’avait jamais voyagé aimait s’imaginait des monde radieux, où la misère ne ferait pas partie du tableau au fond du tableau…
Ah l’Italie, avec ses artistes peintres, musiciens, ses monuments romantiques… Comme la Marquise aurait aimé pouvoir vivre là bas…
Ayant hésité un instant, elle décida de poser toute de même sa question, Maire était comme elle après tout, une jeune fille des plus simple que ne demandait qu’à avoir de l’amour et du bonheur…

« - aimez-vous la musique ? Vous devez obligatoirement appréciez cela, vous qui êtes bercé depuis votre enfance par les plus grands artistes de votre beau pays…»

Comme elle aimait la musique, si les femmes avaient le droit d’exercer un métier, Joséphine aurai été pianiste… Le clavecin produisait un si doux son à ses oreilles… Lorsqu’elle accompagnait l’instrument de sa sublime voie, il n’était pas rare que les domestiques de la maisonnée s’arrêtent un instant pour l’entendre jouer et chanter…
Au fond Joséphine de Romans était une Romantique, elle aimait les couché de soleil, l’odeur de l’herbe fraiche, les bruit du ruisseau qui coule sur les galets… La musique, les chansons raffinées, la danse…

La musique, oui, elle l'aimait. Comme toutes les jeunes filles de son rang ,elle avait appris à jouer du Clavecin. De plus son pays, L'Italie était réputé pour s'appeler le pays des beaux arts. Elles avait été bercées dans toutes les formes d'arts, en plus de la musique, on lui avait appris le chant, et elle avait cotoyée quelques peintres et rencontrée avec sa mère l'architecte du Roi d'Italie.

-Oui, j'apprécie beaucoup la musique. Pendant mon enfance, j'accompagnais souvent le clavecin dans les salons.

A vrai dire la seule chose qu'elle n'aimait pas dans la musique, comme dans tous les aspect de sa vie: c'était lorsqu'on l'obligeais à jouer, à chanter ... Elle n'aimait pas être dirigée, surtout lorsque cela concernait un aspect de sa vie qui était censé être un plaisir.

Marie se retourna et se dirigea vers le petit banc qui était installé sur le balcon. Et elle invita Joséphine à la rejoindre

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Joséphine fut encore plus heureseuse de connaitre la jeune femme lorsque celle ci lui fit signe de venir s'assoireà ses cotés... Si d'autres dames de la cours voyait Joséphine converser ainsi, de si près avec la nièce du Cardinal, plus d'une d'entre elle en serait verte de jalousie... Chacune d'entre elle aurait essaye d'arriver au Roi par la nièce du Cardianal, mais pas Joséphine...

Le Roi pour elle était bien au dela de tout cela. Il avait bien trop à faire, et puis, d'ici peu, la Marquise de Romans porterait un autres titre, et serait femme d'un homme qu'elle ne connaissait meme pas... Rien qu'à songer à cela, Joséphine perdis son sourire... Comment pouvait on vivre ainsi, épouse d'un viel homme avard de son argent et prétencieux comme on ne peut l'imaginer?!
Elle supposait qu'elle devrait s'y faire comme toutes les autres, comme sa mère l'avait fait avant elle... Donner un fils à cet homme et rester sourire et bonne magnière toute sa vie pour rien...

"-maintenant que nous nous connaissons un peu pieux et que vous pertagez un peu de ma tristesse en cette vie, je me pérmet de vous adresser une question: pourquoi vous a t on envoyez en France? Est comme pour mo, trouver un bon partie?!! "

Elle avait dit les dernier mots de sa phrase avec une mimique, comme pour imiter son père lui faisant la morale...Le théatre était aussi une des passiosn de la jeune Marquise, elle aimait ainsi faire rire les autres et montrer sa joie de vivre...

Ce fut par cette sublime après midi du mois de Mai que le Duc de la Richardière avait décidé de faire une apparition au palais royale.
Vêtu d'un veston vert prairie, et coiffé comme à son habitude, il était entré dans la cage aux fauves... Plus d'une femme était venue se pavaner devant lui mettant en avant tous leurs charmes... Mille et une questions lui avaient été posées et il avait répondu comme il aimait le faire, en détournant le sujet pour ne pas avoirà parler de lui... De toute façon, ici, tout le monde n'aimait que parler de lui!

Après avoir salué Monsieur le fère du Roi et sa cours des plus étrange il fallait l'avouer, Simon avait enfin trouvé un instant de répis pour prendre quelques minutes de congé.
Il était sorti sur un des balcons du Sallon d'Apollon. A peine avait il posé les mains sur la rembarde du balcon qu'il reconnu une voie de demoiselle qu'il avait deja entendu... Il resta un instant le visage face au jardin, puis il avait détourné ses yeux pour appercevoir la douce Maire Mancini, en très belle compagnie... La demoiselle qui conversait avec elle était l'une des plus délicieuse que Simon n'est jamais vu...De on naturel engoumant il dit un sourire aux lèvres les yeux rieurs:

"-Je m'en veux d'interompre une si douce conversation, mais je tiens à vous saluer... Vous souvenez vous de moi douce Marie?"

Il lui baisa la main ses yeux planter dans les siens, puis il tourna les yeux vers la demoiselle brune qui se tenait assise aux cotés de la nièce du Cardinal, et il rajouta tout sourire:

"-est qui donc puis bien etre cette jeune demoiselle dont le nom m'est étranger... Simon de la Richardière... Pour vous sevir Mes demoiselles..."

Joséphine ne put avoir le plaisir de répondre à Marie. Bien entendu elle lui aurai donné raison, elle non plus ne voulait pas d'un mari qu'elle n'aimerait pas mais elle aurait ajouté qu'elle devrait se plier aux desires de son père et que malheureusement, ses deesires étaient deja exprimé, et que bientot, Joséphine rencontrerait cet homme à qui elle devrait sunir sans le vouloir...

La marquise fit un sourire à l'intention du jeune Duc qui venait de faire interuption dans leurs conversation. La façon qu'il eut de lui parler la fit presque rougir... Il faut dire que la jeuen Marquise n'avait pas l'habitude de tels compliments venait d'un jeune homme...
Elle apprécia le geste de Mari de la présenter au Duc, car elle se trouvait peut etre trop troublé pour parler à l'instant...
Il était fort plaisant à voir, avec son frond noble et son sourire qui faisait fondre... La marquise dit tout de meme avec une voix toute à fait naturelle, un regard insistant et curieux pausé sur Simon:

"-et que nous vaut l'honneur ou bien le privilège de votre visite Mr?"

D'après ce qu'on disait de cet homme à la cours, il avait un courage exemplaire et il avait serit corps et ame dans l'armée du Roi. Un valeureux chevalier en quelques sorte... Mais au grand malheur de plus d'une dame à la cours, deja presque marié. Lui aussi faisait partie des pions de l'échequier géant. Il n'était rien et suivait tant bien que mal la volonté de son père bien qu'on dise qu'il s'était faché avec lui...

*Joséphine de Romans c'est donc ainsi que cette magnifique créature se nomme... *

Le regard rêveur, les yeux aux fond de ceux de Joséphine, le Duc mis un certain temps à repondre à la question que venait de poser la jeune femme...
Il lacha sa main avec douceur, puis il dit en restant debout devant les deux demoiselles sa voie toujours charmeuse:

"- et bien vous me voyez enchanter de faire votre connaissance Melle de Romans... Vous aurez été les deux soleils de ma journée... Vous des beautées telles que les votre devrait etre une source de bonheur quotidien pour tout hommes..."

Meme si ses paroles était belles, elles n'étaient pas fausses pour autant. Les deux demoiselles etaient des plus belles de la cours, et il pensa soudain qu'elles aussi seraient surement bientot marier à des hommes riches et cupides...

"-je venais ici pour respirer un peu mieux... Je suis las des discours de la cours... Meme si je n'y suis de retoure que depuis aujourd'hui... Raconter ses aventures à chaque personnes est assez épuisant vous le reconnaitrez... "

Comme il regretait deja ses champs de battaille ou les hommes étaient des hommes et ou on ne parlait pas pour rien dire à longueur de journée... Certe il aimait conversé avec des gens vif d'esprit tel que Monsieur le frère du Roi, qu'il appreciait pour sa joie de vire et son originalité... Ou iben avec des demoiselles comme celles ci, mais les autres à quoi bon...

Sentant que son regard pesant déposé sur la jeune Marquise la mettait mal à l'aise, Simon détourna son regard pour leporter sur les jardins au loin... A des lieux d'ici, des hommes comme lui, ou bien sans titre de noblesse, se battaient alors que d'autres, ici mangaient, dansaient et riaient comme si la guerre n'exisait pas...
Le Duc répondit à la questions de Marie en se tournant vers elle d'un coup, un sourire toujours présent:

"-oh non, je vous en pris demoiselle Marie pas vous... Je ne voudrais pas faire entendre à de si chastes oreilles des recits de guerre, de sang et de douleur... Cela ne serait pas convenable de ma part... La journée est si belle, pourquoi la gaché avec des images bien trop dur pour vous..."

Au fond, lui aussi aurait aimer resté dans ce monde enfantin, frivole et insouciant qui bordait encore un peu ces jeunes dames... Lui qui à l'age de 15ans était déjà aux milieux des combats... Si la cours n'avait pas été si gaindée et si sournoise, il y aurait passé volontié sa vie... Ici tout était beaux et rtout était fait pour plaire au Roi...

"-parlez moi plutot de ce que vous avez découvert de Paris... La ville est plaisante n'est ce pas?"

Comme les paroles du Duc était légères... Il ne connaissait pas vraiment ni l'une ni l'autres de ces deux demoiselles et voila qu'il les jugeait deja trop fragile pour entrendre des recits de guerre... Bien que Joséphine imagninait que les battailles étaient atroce, elle avait vu la misère de Paris. Un enfant était meme mort dans ses bras par manque de soins et de nourriture... Comme elle aurait aimer pouvoir crier sur tout les toits du monde que la cours du Roi n'était que tromperie, et qu'elle aurai préféré vivre parmis les gnes du commun, les gens du pleuple... Eux au moins, ils ne mentaient pas comme ils respiraient...

Certes Paris était une belle ville, mais vu d'en haut... Si on se mettait à la hauteur des pauvre, rien de beau ni d'atreillant n'habitait la capital du Royaume...
Sans prendre part à la conversation, elle détourna son regard vers les jardins... Quel dommage qu'il est plu deux jours plutot, le sol était boueux et il n'était correcte de se proméner de la boue sur ses vetements...
Le regard perdu au loin, Joséphine pensait à des terres lointaines, pleine d'avanture... Si seulement elle était née pauvre...

"-Joséphine! Enfin vous voilà, je vous cherche depuis bientot une heure... Que faites vous dont là, votre père aimerait vous présenter à votre futur époux... "

La voix de sa mère fit tout de suite revenir Joséphine à la réalité... Quoi, futur époux... Non pas aujourd'hui pas deja!
Comme si elle se rendait à un long suplice la jeune femme se leva et dit à ses compagnons d'après midi:

"-veuillez m'escuser, mais le devoir m'appelle..."

Le sourire pâle qui regniaot sur ses douces lèvres montrait tout bonheument qu'elle n'avait aucune envi de rencontrer cet homme... Elle fit une révérance et salua ses "amis" puis elle entra dans la salle d'Apollon, pour plaire à son père... Affichant un sourire radieux, elle se remis à jouer le role de la demoiselle bien élevé, et elle vint faire une sublime réverance devant un homme qui devait aborder la 30ene...

Avec une touche galentrie, Simon salua la mère de la demoiselle, et ne put s'empecher de se raidir lorsque le mot époux fut prononcé... Comment cela! Non! Elle était deja presque mariée! Il prit tout de meme le tmeps pour faire ses adieu à la jeune femme là retenant en lui barant la troute un instant... Les yeux brillant de désir il lui dit en lui baisant la main, un peu à l'écart de façon à ce que Marie n'entend pas tout...

"-je suis des plus atristé que vous nous quittiez... Vous revairais je un jour?"

Mais ce ne fut qu'un regard baisser et un pale sourire qui lui répondit... Comment son père pouvait il al marier à ce Duc de Dorcheteur... Certe il avait de l'argent beacoup d'argent meme... Mais il devait avoir environs 10 ans de plus que la ravissante marquise...
C'est la tristesse au corps qui revint vers Marie Mancini... Pour une fois que le destin était généreux avec lui et qu'elle lui offrait la possibilité d'entrevoir un peu d'amour avec une jeune dame... Enfin, c'est ce qu'ilaurai aimer, car il avait eut l'impression que son discourt l'avait ennuillé...
Comme d'habitude il avait torp parler, il ne savait pas vraiment y faire avec les femmes qui l'interessait... Toutes celles dont il ne voulait pas tombaient à ses pieds, mais celles qu'il désirait non...

Une ombre passa sur le visage de Marie, quand la mère de Joséphine vint la chercher. La pauvre, allait asurement avoir encore moins de chance qu'elle, et sa douce enfance allait peut-être se terminer bientôt. Marie ne désirait pas cela, pour la jeune fille qu'elle considérait comme son amie. De plus, que cela lui rappelait, que même si pour le moment son oncle ne s'occupait pas d'elle, la menace d'un futur mariage avec un homme qu'elle ne connaissait, pas planait toujours. A vrai dire cela arrivait surement quand elle ne s'y attendrait pas.

Elle asista donc impuissante au départ de Joséphine, mais aussi à l'échange entre elle et le Duc, dont elle ne perçut aucune mot. Deuxième blessure: elle avait crut voir que les deux jeunes gens se plaisaient, mais malheureusement ils n'auraient probablement jamais le temps de mieux se connaître ...

Cruel destin que de vivre à la cours. Les gens sont riches, puissants, festoients et pourtant ils ne peuvent même pas choisir ceux qu'ils aiment pour vivre.

La tristesse se lisait dans les yeux du jeune Duc lorsqu'il revint vers Marie. Que pouvait-elle faire ? Que pouvait-elle dire ?
Elle leva la tête, et regarda le jeune homme dans ses yeux vides de tout expressions, essayant de donner quelques paroles de réconfort avec un sourire assez faux

-Ne vous inquiétez pas ... elle reviendra.

Une question brûlait les lèvres de la jeune fille, mais ça n'était pas le genre de question qu'une courtisane pouvait se permettre de poser à un homme, encore moins dans la situation dans laquelle elle était. Mais le côté inscouciant de Marie, reprit comme la plupart du temps le dessus sur elle.

-Elle vous plait ...

En disant cela Marie fixait le parc, ne voulant pas croiser les yeux de l'homme auquel elle parlait. Elle ne voulait pas voir quelque chose de mauvais dans son regard contre elle après cette question. Elle avait peur d'être allée trop loin

Oh comme les mots de la jeune Marie avaient été doux à entendre pour le Duc... Cela ce voyait donc tant que la delicieuse Marquise de Romans lui plaisait... Il n'avait jamais su cacher ses sentiments...

Il ne pouvait pas expliquer pourquoi ni comment mais il saait que maintenant son coreur battait pour Joséphine de Romans... Pour ses magnifiques yeux verts, et son sourire à faire tomber le plus dure des hommes... Pour sa voie aussi douce que du miel, sa peau aussi pâle que la neige, et surtout pour son esprit... Une femme avec de l'esprit et une envie de liberté, tout ce dont rêvait Simon...
Il vint s'assoire au coté de Marie, meme si cela ferrait peut etre jazer... De la place qu'il occupait maintena,t, il pouvait voir par la vitre del a grande fenetre, la jeune demoiselle qui avait pris son coeur sans le savoir. Elle souriait mais dans ses yeux aucune joie ne se lisait...
Le Duc de Dorchester était un homme froid et sans interet... Il ne voyait pas du tout la jeune femme au bras de cet homme...
Il répondit à Marie avec une petite lueur d'espoir dans les yeux, la voix douce:

"-je suis navré Melle Marie... Je suis un bien piétre comédien, et je n'arrive pas à dicimuler mes sentiments ou émocions... Oui votre tendre amie me plais, je vous l'avoue... Comment donc pourrais je avoir sa main et son coeur? "

Tout en ayant dit ses derniers mots, il avait replongé son regard dans la salle, et il avait croisé celui de Joséphine... Comme elle était belle... Une rose au beau milieu dans champs d'herbe folle... Elle était si "parfaite" aux yeux du Duc...

Laisser échapper ses sentiments lorsque l'on est à la cours, cela pouvait etre un signe de faiblesse... Meme en mme temps, le Duc était un homme entier, qui ne faisait jamais quelques choses à moitié... Alors lorsqu'il aimait, il aiamti du plus profond de son ame... Meme si il n'avait vu la jeune demoiselle que depuis quelques heures et qu'il n'avait pas vraiment parlé avec elle, il savait que son coeur lui était dévoué... Et meme si elle se voyait marié à ce sinistre homme qu'était le duc de Dorcheter... Les poêtes ne disaient ils pas que l'amour était plus fort que tout? !!
Elle pourrait tres bien prendre amant, de toute façon, il n'existait pas un couple de la noblesse qui ,'est pas des liaisons avec d'autres...

En la regardant d'ou il était, il avait envi d'aller lui porter secours, de lui prendre le bras et de l'emmener loin, tres loin d'ici... Là ou il pourrait l'aimer comme il l'entendait, sans avoir à ecouter parents et haute noblesse... Comme elle était belle... Si gracieuse et si simple à la fois... Simon aurait tant aimer pouvoir parler plus longtemps avec elle, apprendre à la connaitre...
Il sele jura sur le coup, il lui écrirait une messive pour lui montré qu'il l'appréciait et pour lui faire savoir qu'il voulait apprendre à la connaitre mieux...

Il tourna vers Marie des yeux supliant de réponse, comme pris dans cet amour, il ne respirait plus que pour elle alors qu'il ne la connaissait pas. Pressant la main de la nièce du cardinal dans les siennes il dit supliant:

"-ma chance? Mais comment alors qu'elle doit épouser ce personnage ingrat! Quand pourrai je la revoir seul? Que connaissez vous d'elle, je vous en pris, vous que j'apprécie tant, parler moi d'elle avec sincérité..."

D'après ce que disait Marie, Joséphine était une demoiselle pleine de vie, tout comme lui... La musique, l'art, lui aussis aimait ces domaines... Plus il entendait de choses au sujet de la jeune femme plus son coeur s'envolait au près d'elle...
A si seulement il aurai pu crier au monde entier qu'il aimait!!
La dernière phrase de Marie retint l'attention du Duc. Son aimée n'aimait pas sa classe scociale... Comme il aimait à entendre ça... Ils étaient fait l'un pour l'autre, il en était certain... Ce soir il lui écrirait...

"-a vous entendre la décrire mon coeur s'emballe ma chère amie... "

Soudain, il se rendit compte que la demoiselle devait surment avoir d'autres occupations que leurs conversations, sur les entiments du jeune homme... Il lui fit un sourire divint et lui dit d'une voix enjoué et amicale:

"-je suis profondément désolé de vous accablé de mes questions... Je suis un homme qui ne fait rien à moitié, et lorsque j'aime et bien je le fais savoir... Peut etre trop d'ailleurs... Je ne veux pas vous ennuiller plus longtemps..."

Il regarda le soleil au loin, et d'après la position de l'astre dans le ciel, il se faisait deja 5h de l'après midi, il devait aller voir plusieurs personnes avant de rentrer parler avec son père... Il n'avait toujour spas eut l'ocationde la faire. Car après avoir racompagné la jeune femme blonde qu'il avait rencontré par azard dans Paris, il était rentré tard et avait fait dire à son père qu'il était épuisé et qu'il ne désirait pas le voir.
Il se leva et baisant le main de la jeune femme il lui dit avec des éteincelles dans les yeux:

"-je vous dois un grand merci... Grace à vous j'ai rencontré l'amour... Mais je dois vous laisser, le devoir m'appel... J'espère vous revoir tres bientot... Prenez soins de vous Marie... "

Puis il parie en marchant à reculons, et enfin il disparu de la vue de le jeune femme, entrant dans la salle, faisaint un détour pour ne pas croiser la femme pour qui son couer battait à présent. Il sortie du palais en saluant mainte et mainte personne...

Alors que son très cher prère faisait des présentations interminable entre Joséphine est son future époux, et que la jeune femme faisait mine de s'interesser à cet homme bien plus agé qu'elle, la marquise vit une veste dans les ton de vert sortir de la salle en saluant bien des gens...
Son regard se tourna vers la fenêtre du balcon et elle vit Marie assise seule regardant les jardins du palais...
Comme Joséphine aurait aimer pouvoir conitué à converser avec elle... Que lui avait dont dit le Duc? Elle les avait apprecu en train de parler, le Duc paraissait supliant...

"-Joséphine, puis je m'entretenir avec vous je vous pris..."

La voix de son père avait été presque cassante au milieu des rêveries de la demoiselle... Elle cligna des yeux et elle posa son regard sur celui de cet homme sévère qu'était le Marquis de Romans... Elle esquissa un petit sourire et une reverance à l'intention de son futur époux, afin qu'il les excuse...

Le Marquis entreina sa fille à l'écart des regards et il lui sur un ton de reproche les yeux rivé sur elle:

"-Joséphine, je te serai reconnaissant d'u moins faire mine de t'interesser au discours du Duc. Je suis très bien ce que tu rescens mais c'est pour ton bien tu comprends... Je ne veux que ton bonheur..."

Son bonheur!!! Comment pouvait il dire cela! Alors qu'il allait donner la main de sa fille si inocente à un homme qu'il n'appreciait que pour sa fortune... Sans dire mot, Joséphine baissa les yeux, elle savait qu'il ne servirait à rien de prendre possition dans la conversation... Elle soupira et elle partie en direction de la grande salle.
Le coeur gros, elle revint vers le Duc et elle lui dit d'une petite voix qu'elle essayait de montré assuré malgré la boule de chagrin qui s'était formé dans sa gogre...

"-voyez m'excuser très cher Duc, mais je suis lasse et je souhaiterais me retirer... Nous nous reverons bientot j'en suis sur..."

L'homme lui fit un baise main, qu'elle ne put s'emecher de trouver bien moins tendre que celui du Duc de la Riacherdière... La façon dont celui ci était venu à elle lorsqu'elle était partie, son regard plongé dans le sien, et son envi de la revoir... Sa fougue, sa jeunesse... Comme il était charmant si on le comparait avec cet homme froid et dur qu'était le future mari de la demoiselle...
La jeune Marquise sortie de la salle, d'un pas pressé, elle avait l'impression d'etre dans du coton, ses yeux voyaient des étoiles... Ele inspira profondément pour na pas céder à ce malaise qui al gagnait...
Arriver à sa voitur, elle monta dans l'abitacle, et donna l'ordre de rentrer à domaine familliale... Alors qu'elle laissait tomber les rideaux, elle ne vit pas la veste verte passé au coté de la calèche...